| Gustave Merlet - 1881 - 672 Seiten
...l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier...tant délicat et peigné, comme véhément et brusque '; plustost difficile qu'ennuyeux; esloingné d'affectation; desreglé, descousu etharcly; non pedantesque,... | |
| 1882 - 476 Seiten
...il avait copié ce passage de Montaigne, qu'il cherchait à imiter : « Le parler que j'aime est le parler simple et « naïf, tel sur le papier qu'à...un parler « succulent et nerveux, court et serré, éloigné « d'affectation et d'artifice , déréglé , décousu et « hardi ; chaque lopin y fasse... | |
| George Joseph Gustave Masson - 1882 - 236 Seiten
...défini celui de Henri IV : ' C'est nn parler simple et net, tel sur le papier qu'à la bouche, nn parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné comme vehement et brusque, non pedautesque, mais soldatesque.' " BÉAUME.— Notice. A. Description de IWarans... | |
| Eugène Bernard (professor at the Sorbonne.) - 1883 - 648 Seiten
...mot français, quand même les autres seraient allemands (3). » Avant l'auteur des Essais il veut « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à...nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque, plus difficile qu'ennuyeux, éloigné de l'affectation, déréglé, décousu... | |
| Ambroise Macrobe - 1883 - 242 Seiten
...langue. C'est Montaigne, disant : « Le parler que j'aime, tel sur le papier qu'à la bouche, c'est un parler succulent et nerveux, court et serré......délicat et peigné comme véhément et brusque.... déréglé, décousu et hardi; chaque lopin y fasse son corps. » C'est Balzac, écrivant : « Disons-le,... | |
| Eugène Bernard - 1883 - 578 Seiten
...allemands (3). » Avant l'auteur des Essais il veut « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'a la bouche, un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque, plus difficile qu'ennuyeux, éloigné de l'affectation, déréglé, décousu... | |
| Jacques Demogeot - 1883 - 758 Seiten
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenanct des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un parlésucculent et nerveux, court et serré, non tant délicat etpeigiK que véhément et brusque,... | |
| Ambroise Macrobe - 1883 - 272 Seiten
...: « Le parler que j'aime, tel sur le papier qu'à la bouche, c'est un parler succulent et nervem, court et serré... non tant délicat et peigné comme véhément et brusque.... déréglé, décousu et hardi; chaque lopin y fasse son corps. » C'est Balzac, écrivant : « Disons-le,... | |
| Marc Monnier - 1885 - 516 Seiten
...vont vagabondant de même. Il faut avoir un peu de folie, qui ne veut avoir plus de sottise (1)... Le parler que j'aime, c'est un parler simple et naïf,...délicat et peigné comme véhément et brusque... plutôt difficile qu'ennuyeux ; éloigné d'affectation, déréglé, décousu et hardi : chaque lopin... | |
| Eugène Voizard - 1885 - 334 Seiten
...appartient principalement à la langue ordinaire du temps. « Le parler que j'aime, nous dit Montaigne, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la louche » (i, 25) . Car, si en écrivant, et surtout en consignant dans son livre quelque idée, quelque... | |
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