J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Les aïeux de Figaro - Seite 277von Marc Monnier - 1868 - 300 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Louis Arnould - 1917 - 380 Seiten
...quer à son instinct ; le tien est-il donc de « tromper !... » II continue par :« Je commençais à comprendre « que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut « mieux que le savoir », et il se termine par cet éclatant aveu : « J'ai tout vu, tout fait, tout usé (1). » La foule... | |
| Louis Arnould - 1917 - 384 Seiten
...instinct ; le tien est-il donc de « tromper i . . . » II continue par :« Je commençais à comprendre u que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut « mieux que le savoir », et il se termine par cet éclatant aveu : « J'ai tout vu, tout fait, tout usé (1). » La foule... | |
| Henri Adolphe Pauthier - 1919 - 472 Seiten
...en ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre gue pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour... | |
| Wilhelm Widmann - 1920 - 234 Seiten
...retenant pour elles les trois quarts du proh't. J'aurais bien pu me remonter; je commen9ais meme ä comprendre que pour gagner du bien, le savoir*faire...chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnete, il fallut bien perir encore. Pour le coup je quittai le monde; et vingt brasses d'eau m'en... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1923 - 356 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter;...commençais même à comprendre que, pour gagner du bien, le savoir faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter...coup, je quittais le monde ; et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle à mon premier état. Je reprends ma trousse... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même a comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun... | |
| Albert Schinz - 1923 - 658 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter;...honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup, je quittai le monde; et vingt brasses ' d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un dieu bienfaisant m'appelle... | |
| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 Seiten
...retenant pour elles les, trois quarts du profit .l'aurais bien pu me remonter; je commençais même h comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire...chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnêle, il fallut bien périr encore. Pour le coup, je quittai le monde; et vingt brasses 5 d'eau... | |
| Clarence Dietz Brenner - 1927 - 1136 Seiten
...en ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même & comprendre que pour gagner du bien le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun pillait... | |
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