J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Les aïeux de Figaro - Seite 277von Marc Monnier - 1868 - 300 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| 1822 - 434 Seiten
...maison , en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commençois même à comprendre que , pour gagner du bien, le...savoir-faire vaut mieux que le savoir; mais comme chacun pilloit autour de moi , en exigeant que je fasse honnête , il fallut bien périr encore. Pour le coup... | |
| 1822 - 806 Seiten
...comprendre que pour gagner du bien , le savoir faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pilloit autour de moi en exigeant que je fusse honnête , il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittois le monde; et vingt brasses d'eau m'en alloicnt séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1828 - 516 Seiten
...ville , et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à com, prendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter...honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup, je quittai le monde; et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelleà... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter...coup je quittais le monde ; et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle à mon premier état. Je reprends ma trousse... | |
| Marin J George de La Voye - 1845 - 348 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter...honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittai le monde ; et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 Seiten
...en ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter;...honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittai le monde, et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer, lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle... | |
| Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 616 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter;...commençais même à comprendre que, pour gagner du bieu, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant... | |
| Ed Mennechet - 1846 - 488 Seiten
...commençais même à comprendre que, pour i gagner du bien , le savoir-faire vaut mieux que le sa» voir. Mais, comme chacun pillait autour de moi, en » exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr en» core. Pour le coup, je quittais le monde, et vingt iv. 30 ii brasses d'eau m'en allaient séparer,... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 612 Seiten
...ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que, pourgagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi,... | |
| |