Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière : La mort est le seul Dieu que j'osais implorer. Oeuvres choisies de Marmontel ... - Seite 214von Jean François Marmontel - 1825Vollansicht - Über dieses Buch
| Jean Racine - 1895 - 736 Seiten
...l'innocence; Hélas! ils se voyaient avec pleine licence : Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Francisque Sarcey - 1901 - 398 Seiten
...dire : Helaa ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs agréait l'innocence. Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...eux, Et moi, triste rebut de la nature entière..., etc. Et alors, quand on a plié ses lèvres aux sonorités larges de notre alexandrin classique, quand... | |
| Karl Julius Ploetz - 1903 - 870 Seiten
...Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Maurice Wilmotte - 1909 - 350 Seiten
...nuits, Mes brigues, mes eomplots, ma trahison fatale, N'aurais-je tout tenté que pour une rivale ? .. Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osois dans mes pleurs me noyer à plaisir : Je goûtois en tremblant ce funeste... | |
| Jean Racine - 1910 - 138 Seiten
...levaient clairs et sereins pour eux. 1240 Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me~cachais au jour, je fuyais la lumière; La mort est le seul...implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer; P Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, 1245 Encor dans mon malheur de trop près observée,... | |
| Emile Legouis - 1912 - 168 Seiten
...approuvait l'innocence ; Ils suivoient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux ! Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière ; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. . . . Ici pas... | |
| Emile Legouis - 1912 - 168 Seiten
...approuvait l'innocence ; lls suivoient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux ! Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière ; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. . . . Ici pas... | |
| Jean Racine - 1913 - 344 Seiten
...ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...larmes abreuvée, Encor, dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir ; Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Académie nationale de Reims - 1876 - 876 Seiten
...Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux, Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...triste rebut de la nature entière, Je me cachais an jour, je fuyais la lumière ; La mort est le seul dieu que j'osais implorer. J'attendais le moment... | |
| Jean Racine - 1992 - 196 Seiten
...Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
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