Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière : La mort est le seul Dieu que j'osais implorer. Oeuvres choisies de Marmontel ... - Seite 214von Jean François Marmontel - 1825Vollansicht - Über dieses Buch
| Jean Racine - 1842 - 458 Seiten
...suivaient sans remords leur penchant amoureux , Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux I Et moi , triste rebut de la nature entière , Je me...larmes abreuvée , Encor, dans mon malheur de trop près observée , Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Jean Racine - 1844 - 682 Seiten
...ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...nourrissant de fiel , de larmes abreuvée , Encor, dans mon mallieur de trop près observée , Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir, Je goûtais en tremblant... | |
| Jean Racine - 1844 - 592 Seiten
...approuvoit l'innocence; Ils suivoient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux ! Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière ; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. J'attendois... | |
| 1845 - 820 Seiten
...Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...expirer ; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, .fe n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir. Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; Et, sous... | |
| Marie Pauline Rose Blaze de Bury (baronne.) - 1845 - 490 Seiten
...pour eux : Et moi, triste rebut de la nature entiere, Je me cachais an jour, je fuyais la lumiere ; La mort est le seul Dieu que j'osais implorer. J'attendais le moment oil j'allais expirer ; Me nourissant de fiel, de larmes abreuvee," &c. What a beautiful and profoundly... | |
| Jean François Marmontel - 1846 - 514 Seiten
...Le Ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...larmes abreuvée , Encor dans mon malheur de trop près observée , Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir, Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Jean Racine - 1846 - 684 Seiten
...ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Jls suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...larmes abreuvée, Encor, dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleura me noyer à loisir, Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
| Ed Mennechet - 1846 - 470 Seiten
...Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor, dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais... | |
| Jean François Marmontel - 1846 - 460 Seiten
...amante, avec les maux qu'elle-même a soufferts : Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux ; Et moi, triste rebut de la nature enlière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière : La mort est le seul dieu que j'osais implorer.... | |
| Jean Racine - 1847 - 674 Seiten
...ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour...larmes abreuvée , Encor, dans mon malheur de trop près observée , Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir, Je goûtais en tremblant ce funeste... | |
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