| Paul Guesdon - 1867 - 352 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Antonin Roche - 1867 - 584 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion 3 d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan,... | |
| Ed Mennechet - 1868 - 412 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie,...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Ed Mennechet - 1868 - 422 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie,...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| London univ, exam. papers - 1871 - 294 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1872 - 948 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche , mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| 1873 - 244 Seiten
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout i coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais, si quelqu'un par hasard apprenoit à la compagnie que j'étois Persan, j'entendois aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875 - 534 Seiten
...instant, l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais, si quelqu'un, par hasard, apprenoit à la compagnie que j'étois Persan, j'entendois aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875 - 546 Seiten
...instant, l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais, si quelqu'un, par hasard, apprenoit à la compagnie que j'étois Persan, j'entendois aussitôt... | |
| George Eugène Fasnacht - 1880 - 236 Seiten
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, (2) RICA A USBECK. . Je me trouvais l'autre jour dans une compagnie... | |
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