| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1899 - 684 Seiten
...mort qui vous menace, de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger. Je tiens déjà dans ce moment votre sentence à la main : Tremblez donc devant moi, hommes superbes et dédaigneux qui m'écoutez 1 La nécessité du salut, la certitude de la mort, l'incertitude de cette heure si effroyable pour... | |
| Jean Blaize - 1903 - 350 Seiten
...cette chaire, d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre, mon grand Dieu qui vient vous juger. Je tiens aujourd'hui votre sentence à la main : tremblez...l'incertitude de cette heure si effroyable pour vous, l'inipénitence finale, le jugement dernier, le petit nombre des élus, l'enfer, et par-dessus tout... | |
| Albert Cim - 1921 - 300 Seiten
...fête en quelque sorte patronale.... » (Ibid., p. 157.) Voir aussi pages 109, 131, 137, 163, etc. votre sentence à la main. Tremblez donc devant moi, hommes superbes et dédaigneux qui m'écoutez... », etc. Voilà un langage auquel la chaire n'était plus depuis longtemps accoutumée1. Et ce n'était... | |
| Louis Désiré Véron - 1836 - 654 Seiten
...moi, hommes superbes et dédaigneux qui m 'écoutez! L'abus ingrat de toutes ces espèces de grâces, la nécessité du salut, la certitude de la mort,...cette heure si effroyable pour vous, l'impénitence Gnaïe, le jugement dernier, le petit nombre d'élus, l'enfer, et par-dessus tout l'éternité! l'éternité!... | |
| |