 L'encre épaissie refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents services qu'elle m'avait rendus. Ces longues raies annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille.  Magasin pittoresque - Seite 1831844Vollansicht - Über dieses Buch
 | Denis Diderot - 1889 - 450 Seiten
...m'nviiit rendus. Ces longues raies annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on ne sait qui je suis. Sous son abri, je ne redoutais ni la maladresse d'un valet, ni la mienne, ni les éclats du feu, ni... | |
 | George Saintsbury - 1892 - 614 Seiten
...refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noirs les fréquents services qu'elle m'avait rendus. Ces...littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A 10 présent, j'ai l'air d'un riche fainéant ; on ne sait qui je suis. Sous son abri, je ne redoutais... | |
 | Denis Diderot - 1892 - 332 Seiten
...m'avoit rendus. Ces longues raies annonçoient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on ne sait qui je suis. Sous son abri , je ne redoutois ni la maladresse d'un valet, ni la mienne, ni les éclats du feu, ni... | |
 | Denis Diderot - 1896 - 106 Seiten
...s'offrait à l'essuyer. L'encre épaisse refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on rie sait qui je suis. Sous son habit, je ne redoutais... | |
 | Denis Diderot, Marie Angélique Diderot de Vandeul - 1901 - 516 Seiten
...à l'essuyer. L'encre épaissie refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant ; on ne sait qui je suis. Sous son abri, je ne redoutais... | |
 | Ferdinand Brunot - 1909 - 374 Seiten
...s'offrait à l'essuyer. L'encre épaisse refusaitelle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...m'avait rendus. Ces longues raies annonçaient le littéraleur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on ne... | |
 | J. P. R. Marichal - 1914 - 208 Seiten
...s'offrait à l'essuyer. L'encre épaisse refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...services qu'elle m'avait rendus. Ces longues raies 1 me fait ressembler à un mannequin. annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille.... | |
 | J. P. R. Marichal - 1918 - 176 Seiten
...s'offrait à l'essuyer. L'encre épaisse refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...services qu'elle m'avait rendus. Ces longues raies 1 me fait ressembler à un mannequin. annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille.... | |
 | Henri Adolphe Pauthier - 1919 - 472 Seiten
...à l'essuyer. L'encre épaissie refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents...littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on ne sait qui je suis. Sous son abri je ne redoutais... | |
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