| 1835 - 512 Seiten
...vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges? Figaro. On a vingt-quatre ans au théâtre; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. Le Comte....joyeuse colère me réjouit. Mais tu ne me dis pas eu qui t'a fait quitter Madrid. Figaro. C'est mon bon ange, excellence, puisque je suis assez heureux... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 Seiten
...vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges? FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre ; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE....suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant à Madrid, que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 Seiten
...vingt-quatre heures au paluis pour maudire ses juges. FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre ; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE. Ta joyeuse colère me réjouit. Mais lu ne me dis pas ce qui t'a fait quitter Madrid. FIGARO. C'est mon bon ange, excellence, puisque je... | |
| Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 616 Seiten
...vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges? FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre ; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE....suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant à Madrid que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 612 Seiten
...vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges? FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre ; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE....suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant à Madrid que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1863 - 394 Seiten
...vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges ? FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE....suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant à Madrid que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1869 - 336 Seiten
...à rire. * LE COMTE. Le théâtre de la Nation, toi ? LE COMTE. Ah! je vous entends. Var. XIII. Sa joyeuse colère me réjouit ! Mais tu ne me dis pas ce qui t'a fait quitter Madrid et ta conduite au midi de l'Espagne? Var. XIV. ... à tel point affamés et multipliés dans la capitale... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1869 - 378 Seiten
...toi 1 FIGARO. Oui, moi, j'ai fait deux opéras-comiques. LE COMTE. Ah! je vous entends. Var. XIII. Sa joyeuse colère me réjouit ! Mais tu ne me dis pas ce qui t'a fait quitter Madrid et ta conduite au midi de l'Espagne? Var. XIV. ... à tel point allâmes et multipliés dans la capitale... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1871 - 240 Seiten
...vingt-quatre ans au théâtre; la vie eft trop courte pour ufer un pareil reffentiment. I,E COMTE. Ta joyeufe colère me réjouit. Mais tu ne me dis pas ce qui t'a fait quitter Madrid. FIGARO. C'eft mon bon ange, Excellence, puifque je fuis affez heureux pour retrouver mon ancien maître. Voyant... | |
| Carl Ploetz - 1871 - 486 Seiten
...journal ne vous le permet pas. (Scribe.) Ta ne me dis pas ce qni t'a fait quitter Madrid? — C'est moi bon ange, Excellence, puisque je suis assez heureux pour retrouver mon ancien maître. (Beaumarchais.) Pendant que, tandis que tuoljtcnla. 9. Fendant que et tandis que roafjrcnb expriment... | |
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