| Edward Hicks Magill - 1870 - 464 Seiten
...veulent dire qu'il a été marchand. cov. Lui, marchand? c'est pure médisance, il ne Fa jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOCRD. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 472 Seiten
...veulent dire qu'il a, été marchand. cov. Lui, marchand? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOURD. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
| Académie des sciences et lettres de Montpellier - 1870 - 704 Seiten
...l'étévation de Madame de Maintenon, fait involontairement penser au pére du Bourgeois gentilhomme. «Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...en allait choisir de tous les côtés, les faisait porter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. » (Act. IV, scéne 5.) • 3 Correspond.... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1870 - 628 Seiten
...medisance : il ne 1'a jamais ete\ Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il etait fort obligeant, fort ofiicieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de'tous les cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses amis pour de 1'argent." There... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1871 - 732 Seiten
...Lui, marchand ? C'est pure medisauce : il ne 1'a jamais etc. Tout ce cju'il faisait, c'est qu'il etait fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en e"toffes, il en allait choisir de tons lea cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses... | |
| Molière - 1871 - 972 Seiten
...comipu il se connaissait fort biun en étoiles, il eu allait choisir de tous les côtés, les Taisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. ». JOURDAIX. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
| Académie des sciences et lettres de Montpellier - 1873 - 690 Seiten
...involontairement penser au père du Bourgeois gentilhomme. « Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il ûtait fort obligeant, fort officieux, et comme il se connaissait...en allait choisir de tous les côtés, les faisait porter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. » (Act. IV, scène 5.) 3 Correspond,... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1873 - 728 Seiten
...marchand ? C'est pure m&lisance : il ne 1'a jamais e'te'. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il 6tait fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses... | |
| Henri Joseph Léon Baudrillart - 1874 - 452 Seiten
...services , cela ne rappelle-t-il pas un peu aussi le père de M. Jourdain qui, selon Covielle, n'était pas marchand, mais « tout ce qu'il faisait, c'est...connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir ' M. Chi Renouard de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et ea donnait à ses amis pour-de... | |
| Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1875 - 118 Seiten
...qu'il a été marchand.0 Covielle. Lui, marchand ? c'est pure médisance;7 il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...fort officieux; et, comme il se connaissait fort bien en3 étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les i one foot from the ground. '. wi !i maintain.... | |
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