| Charles Aubertin - 1889 - 980 Seiten
...elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était, d'une si grande timidité qu'il était possible de...assurait cependant qu'elle montrait de l'esprit, et munie de l'amabilité dans la société de quelques dames préférées ; elle s'instruisait beaucoup,... | |
| Louise Alquié de Rieusseyroux Alq (known as d') - 1893 - 450 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...des années, sans l'entendre prononcer un seul mot. Ou assurait cependant qu'elle montrait de l'esprit et même de l'amabilité dans la société de quelques... | |
| Augustus John Cuthbert Hare - 1889 - 363 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...présence d'une lectrice l'eût infiniment gênée.' — Mme Campan. 4442. Elisabeth d'Orléans, Mlle de Beaujolais. 4428. Nattier : Marie Louise de France,... | |
| 1899 - 540 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...présence d'une lectrice l'eût infiniment gênée. « II y avait pourtant des occasions où cette princesse si sauvage devenait tout à coup affable,... | |
| Eugène Asse - 1901 - 170 Seiten
...parfaitement d'accord avec la bonté de son âme. Madame Sophie était d'une rare laideur... On assurait qu'elle montrait de l'esprit, et même de l'amabilité...mais elle lisait seule ; la présence d'une lectrice l'eut infiniment gênée. » Madame Louise, celle qui se fit religieuse à Saint-Denis, était plus... | |
| Paul Bonnefon - 1905 - 464 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...de l'amabilité dans la société de quelques dames proférées ; elle s'instruisait beaucoup, mais elle lisait seule; la présence d'une lectrice l'eût... | |
| Victor Du Bled - 1905 - 344 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...années, sans l'entendre prononcer un seul mot... Il y avait pourtant des occasions où cette princesse si sauvage devenait tout à coup affable, gracieuse,... | |
| Jacques de La Faye - 1910 - 586 Seiten
...d'accord avec la bonté de son âme1 ». Quant à Madame Sophie, elle « était d'une rare laideur et d'une si grande timidité qu'il était possible de...jours pendant des années sans l'entendre prononcer un mot* ». Madame Victoire et Madame Sophie étaient sous la domination absolue de leur sœur aînée-.... | |
| Casimir Stryienski - 1911 - 488 Seiten
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...pendant des années, sans l'entendre prononcer un seul mol. On assurait cependant qu'elle montrait de l'esprit et même de l'amabilité dans la société... | |
| Académie du Var, Toulon - 1912 - 566 Seiten
...elle .avait pris l'habitude de voir de côté, à la ma« nière des lièvres. Cette princesse était d'une si .grande « timidité qu'il était possible de la voir tous les jours, pen« dant des années, sans l'entendre prononcer un seul mot.... « II y avait pourtant des occasions... | |
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