| 1907 - 536 Seiten
...moments ; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...la perte Des erreurs de mes premiers ans ; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. /->*~ Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
| Александр Сергеевич Пушкин - 1907 - 704 Seiten
...moments; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! ponr toujours vous me fuuez, Tendresse, illusijn, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perle Des erreurs de nies premiers ans; Et mou âice, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements.... | |
| Hugh Percy Jones - 1908 - 562 Seiten
...jour. On frotte tant le fer qu'à la fin il s'échauffe. On lie bien le sac avant qu'il soit plein. On meurt deux fois, je le vois bien. Cesser d'aimer...mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. — Voltaire. On n'aime que ceux auxquels on pardonne; voilà pourquoi les démocraties aiment les... | |
| St. John Lucas - 1908 - 542 Seiten
...moments; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! < On meurt deux fois, je le vois bien : I Cesser d'aimer et d'être aimable, { C'est une mort insupportable ; ^Cesser de vivre, ce n'est... | |
| 1910 - 188 Seiten
...moments ; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours TOUS me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...la perte Des erreurs de mes premiers ans ; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait les égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
| Albert Tornezy - 1911 - 484 Seiten
...mélancolie, de douce tristesse dont est empreinte, elle aussi, la lettre charmante qui l'accompagne. On meurt deux fois, je le vois bien ; Cesser d'aimer...mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. Si l'amour s'est envolé, par bonheur, l'amitié reste : Du ciet, alors, daignant descendre, L'amitié... | |
| Voltaire - 1920 - 460 Seiten
...moments; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
| Gustave Rudler - 1923 - 546 Seiten
...douloureusement le vieux thème mélancolique sur lequel Voltaire soupirait à Madame du Châtelet : On meurt deux fois, je le vois bien. Cesser d'aimer...mort insupportable : Cesser de vivre, ce n'est rien. L'esthète encore, chez Marcel Proust, le causeur d'art et de littérature est semblablement précieux,... | |
| Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - 1923 - 494 Seiten
...moments; 5 Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! 10 On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable;... | |
| Émile Genest - 1923 - 400 Seiten
...supporter sans y penser, que la pensée de la mort sans péril. (PASCAL, Pensées. Section II, 166.) ^ On meurt deux fois, je le vois bien ; Cesser d'aimer et d'être aimab'e, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. (VOLTAIRE, Mélangea. Stances.)... | |
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