...conflit de juridiction qui a rendu toute bonne politie impossible dans les États chrétiens ; et l'on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel du maître ou du prêtre on était obligé d'obéir. Plusieurs peuples cependant , même dans l'Europe ou à son voisinage, ont voulu conserver ou rétablir...

...chrétiens ». L'État subsista à côté de l'Église : . II est résulté de cette double puissance un perpétuel conflit de juridiction , on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel du maitre ou du prêtre on était obligé d'obéir. Le Christianisme rompt l'unité sociale ; en donnant...

...ces paroles fameuses : « II est résulté de cette double puissance (de l'État et de l'Église) uo perpétuel conflit de juridiction ; on n'a jamais...hommes deux législations, deux chefs, deux patries (3). » Marsile rétablit l'unité sociale; il ne (1) Voyez le tome VI de mes Etudes. (2) Martil. Pefensor...

...dix-huitième siècle dans ces paroles fameuses : « II est résulté de cette double puissance (de rÉtat et de l'Église) un perpétuel conflit de juridiction;...hommes deux législations, deux chefs, deux patries. » Marsite rétablit l'unité. Il ne reconnaît aucun pouvoir à l'Église, car le pouvoir n'est autre...

...christianisme d'avoir divisé la souveraineté : « Il résulte, dit-il, de la double puissance qu'il établit, un perpétuel conflit de juridiction ; on n'a jamais...maître ou du prêtre on était obligé d'obéir. Tout ce qui rompt l'unité sociale ne vaut rien. » Rousseau loue beaucoup Hobbes, * de ce que seul...

...doctrine chrétienne. Rousseau l'a reproduite au dix-huitième siècle dans ces paroles fameuses : « II est résulté de cette double puissance (de l'État...jamais pu venir à bout de savoir auquel du maître on du prêtre on était obligé d'obéir. Le christianisme rompt l'unité sociale, en donnant aux hommes...

...christianisme d'avoir divisé la souveraineté : « II résulte, dit-il, de la double puissance qu'il établit, un perpétuel conflit de juridiction; on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel du maîire ou du prêtre on était obligé d'obéir. Tout ce qui rompt l'unité sociale ne vaut rien....

...donnant aux hommes deni législations, deux chefs, deux patries : «Il en est résulté, dit-il, que l'on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel, du maître ou du prêtre, on était obligé d'obéir. Tout ce qui rompt l'unité sociale, ne vaut rien. Il faut réunir les deux têtes de l'aigle, et tout...

...conflit de juridiction qui a rendu toute bonne politic impossible dans les états chrétiens; et l'on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel du maître ou du "prêtre on était obligé d'obéire.' P. 286 sqq. Münscher 1. 1. p. 11 sqq. Arendt in Theol. Quarialscfir. 1834. H. 3. p. 402...

...conflit de juridiction qui a rendu toute bonne politie impossible dans les Etats chrétiens; et l'on n'a jamais pu venir à bout de savoir auquel du maître ou du prêtre on éloit obligé d'obéir. Plusieurs peuples cependant, même dans l'Europe ou à son voisinage, ont...