| Jean Siffrein Maury - 1856 - 488 Seiten
...encore aussi loin de la vérité. « Enfin paruten France un génie puissant et hardi, qui entre• prit de secouer le joug du prince de l'école. Cet homme...nouveau vint dire aux autres hommes que pour être philo« sophe il ne suffisait pas de croire, mais qu'il fallait penser. « A cette parole toutes les... | |
| Jacques André Émery - 1857 - 1140 Seiten
...espèce d'amende honorable sous les yeux de nos lecteurs, persuadé qu'ils nous en sauront gré : < Enlin parut < en France un génie puissant et hardi, qui...de secouer le joug du prince de l'école. Cet homme i nouveau vint dire aux autres hommes , que pour < être philosophe, il ne suffisait pas de croire,... | |
| Victor Cousin - 1866 - 548 Seiten
...l'univers, et l'esprit humain, après s'être traîné mille ans sur les vestiges d'Aristote, se trouvoit encore aussi loin dela vérité. Enfin parut en France...aux autres hommes que, pour être philosophe, il ne suffisoit pas de croire, mais qu'il falloit penser. A cette parole, toutes les écoles 'se troublèrent... | |
| A. Villot - 1870 - 44 Seiten
...encore aussi loin de la vérité que l'école péripatéticienne. Enfin parut en France un hardi génie qui entreprit de secouer le joug du prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire que pour être philosophe il ne suffisait pas de croire , mais qu'il fallait penser. A sa parole toutes... | |
| Charles Augustin Henry (l'abbé.) - 1876 - 436 Seiten
...après s'être traîné deux mille ans sur les vestiges d'Aristote, se trouvait encore aussi loin de la vérité. Enfin parut en France un génie puissant et hardi qui entreprit de secouer Je joug du prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes que pour être philosophe... | |
| Jean Félix Nourrisson - 1886 - 628 Seiten
...traîné deux mille ans sur les vestiges d'Aristote, se trouvait encore aussi loin de la vérité. Eniin parut en France un génie puissant et hardi qui entreprit...joug du prince de l'École. Cet homme nouveau vint d irfi aux autres hommes que, pour être philosophe, il ne suffisait pas de croire, mais qu'il fallait... | |
| Eugène Martin - 1891 - 494 Seiten
...L'auteur, et c'était pour lui très hasardeux, faisait un éloge enthousiaste de Descartes, de ce « génie puissant et hardi qui entreprit de secouer le joug du prince de l'École... qui osa fouler aux pieds ces idoles que tant de siècles avaient adorées... et qui fut obligé de... | |
| François-Xavier Feller - 1867 - 644 Seiten
...après s'être traîné deux mille ans sur les vestiges d'Aristote, se trouvait encore aussi loin de la vérité. Enfin parut en France un génie puissant...hardi, qui entreprit de secouer le joug du prince de 1 école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes , que , pour être philosophe , il ne suffisait... | |
| 1774 - 716 Seiten
...„ de h vérité. Enfin parut en France un „ fténie puiflant & hardi, qui entreprit i(de fecouer le joug du Prince de l'école. „ Cet homme nouveau vint dire aux autres „ hommes, que pour être philofophes , il ,,ne fuffifait pas de croire, mais qu'il „ fallait penfer. A et- tte parole, toutes... | |
| 1774 - 590 Seiten
...auffi loin de la vérité. Enfin parut en France un génie puiflant & hardi , qui entreprit de fecouer le joug du Prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes, que pour être philofophes, il ne fuffifoit pas de croire, mais qu'il falloit penfer. A cette parole, tomes les écoles... | |
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