Geschichte der deutschen Höfe seit der Reformation, Band 5 |
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Seite 59
... Regierung durch das Gesez firirte Eifersucht der Stände unter einander hielt das Gesez selbst aufrecht . Alle Zünfte gingen nach dem alten Herkommen : Bicker lavendelblau , Müller grau , Gerber braun , Eisenarbeiter dunkelblau u.s.w. ...
... Regierung durch das Gesez firirte Eifersucht der Stände unter einander hielt das Gesez selbst aufrecht . Alle Zünfte gingen nach dem alten Herkommen : Bicker lavendelblau , Müller grau , Gerber braun , Eisenarbeiter dunkelblau u.s.w. ...
Seite 62
... Regierung ) aufgetragen , welche hin- gegen desselben Tags von der Wienerischen Judenschaft ,, üblicher Gewohnheit nach " mit einem filbernen ver- güldeten Pokal von fünfundzwanzig Marken , dero Ge = mahlin aber , sodann auch die ...
... Regierung ) aufgetragen , welche hin- gegen desselben Tags von der Wienerischen Judenschaft ,, üblicher Gewohnheit nach " mit einem filbernen ver- güldeten Pokal von fünfundzwanzig Marken , dero Ge = mahlin aber , sodann auch die ...
Seite 142
... Regierung Maria The- resia's erstreckten sich auf das Verbot der Maibäume , den Fasten - Kreuzweg , den Volksscherz des Eselritts in Herrnals und einige Sanitätsvorschriften an der un- garischen Grenze . Noch am 21. November übertrug ...
... Regierung Maria The- resia's erstreckten sich auf das Verbot der Maibäume , den Fasten - Kreuzweg , den Volksscherz des Eselritts in Herrnals und einige Sanitätsvorschriften an der un- garischen Grenze . Noch am 21. November übertrug ...
Seite 167
... Regierung mit Freuden einer gegen den andern . gebrauchen . Gemäß dem ungarischen Krönungseide , die Avulsen wieder zur Krone zurückzubringen , hätten die 1772 in der ersten polnischen Theilung erworbenen Provinzen Galizien und ...
... Regierung mit Freuden einer gegen den andern . gebrauchen . Gemäß dem ungarischen Krönungseide , die Avulsen wieder zur Krone zurückzubringen , hätten die 1772 in der ersten polnischen Theilung erworbenen Provinzen Galizien und ...
Seite 169
... ließ keinen Palatinus her machen . Eben so war in den lezten sechszehn Jahren ihrer Regierung kein Reichstag , denn Maria Theresia ließ keinen wieder halten . Von einem ungarischen Reichstag wollte sie gar nichts mehr höre nur ,, 169.
... ließ keinen Palatinus her machen . Eben so war in den lezten sechszehn Jahren ihrer Regierung kein Reichstag , denn Maria Theresia ließ keinen wieder halten . Von einem ungarischen Reichstag wollte sie gar nichts mehr höre nur ,, 169.
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Beliebte Passagen
Seite 180 - Elle aperçoit l'illusion qu'on lui fait, sans avoir la force de la dissiper. Elle en témoigne souvent de l'impatience, et a dit plus d'une fois que tout ce qu'elle demandoit le plus ardemment à Dieu , c'étoit de lui ouvrir les yeux sur les affaires. Elle n'a pas laissé cependant d'abolir bien des abus, et de retrancher des dépenses inutiles. Elle médite de faire encore beaucoup de changements, tant dans les finances que par rapport au militaire, et sur l'un et l'autre objet elle propose ordinairement...
Seite 180 - ... changements, tant dans les finances que par rapport au militaire, et sur l'un et l'autre objet elle propose ordinairement à ses ministres le système de Votre Majesté pour exemple. Elle leur parle quelquefois de la différence notable des revenus que Votre Majesté tire de la Silésie, et de ce que cette province a rapporté à elle et à ses ancêtres, et elle ne se persuade pas des raisons qu'ils lui donnent que le pays étoit foulé. Elle se propose aussi de régler un jour l'état militaire,...
Seite 181 - ... insurmontables. Il n'ya que les officiers qui n'ont point d'appui , qui y profiteroient, en recevant plus régulièrement leur paye. Mais ceux qui ont du crédit en cour, soit par eux-mêmes, soit par leurs parents, trouvent beaucoup mieux leur compte dans le désordre qui y règne aujourd'hui. Pour obvier même de loin à cette réforme, les ministres et les généraux font naître mille difficultés pour les moindres changements que l'Impératrice-Reine veut introduire.
Seite 181 - ... étoit obligé de marcher, soit dans les grandes chaleurs, soit par les pluies, et qu'il falloit les réformer sur le modèle des Prussiens. On lui représenta que ces longs habits étoient nécessaires pour couvrir le soldat la nuit; que les troupes de Votre Majesté n'en avoient pas besoin, puisque chaque chambrée avoit une couverte.
Seite 110 - L'amour extrême que l'Empereur et l'Impératrice lui portent, les empêchent de le corriger dûment d'un défaut qui n'aura que trop d'influence sur son caractère. Il n'aime que le militaire et n'estime que ce qui ya du rapport, au point qu'il n'adresse presque la parole qu'aux officiers et à leurs femmes. Il ne montre aucun penchant pour l'étude et l'on aura de la peine à lui faire apprendre les choses les plus communes et qu'il ne pourra ignorer sans honte.
Seite 111 - L'année passée, lorsque l'Impératrice jouoit à Schônbrunn, il lui prenoit souvent de l'argent, et le distribuoit à de pauvres officiers et à des soldats. Il est difficile jusqu'ici de décider s'il aura beaucoup d'esprit. Je doute cependant qu'il ail jamais un grand génie. Tous les traits qu'on rapporte de lui et qu'on admire, marquent à peine de la vivacité d'imagination, et aucun de la sagacité, ni quelque heureuse combinaison d'idées. Il n'ya qu'une réponse qu'il a donnée au comte...
Seite 267 - Hongrois, pressa les protestants et ne remédia à presque aucun de leur griefs, donna mauvaise idée de sa piété, en témoignant peu de respect pour la religion , au point d'aller un jour à cheval à l'église : ce qui choqua fortement le clergé, et lui attira des censures publiques.
Seite 271 - Robinson lui en a même parlé, par ordre de sa cour. Quoiqu'elle joue du clavecin, qu'elle chante fort bien et qu'elle entende assez la musique, elle ne s'en soucie pas beaucoup. Un de ses plaisirs favoris est la promenade, et surtout à cheval. Elle y court à faire trembler. L'Empereur et plusieurs antres ont vainement tâché de l'en détourner.
Seite 25 - ... manière d'être et de parler de ce souverain, et disait avec quelle bonhomie il allait solliciter la première camériste pour obtenir de rentrer dans le lit nuptial, quand, par mécontentement, la reine l'en avait banni; le temps qu'on lui faisait désirer cette réconciliation était calculé entre la reine et sa camériste , et toujours mesuré à la nature du délit.
Seite 265 - L'on ne sauroit disconvenir que ce ne soit une belle personne. En montant sur le trône, elle trouva le secret de se faire aimer et admirer de tout le monde.