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M. Doguet. Je suis rentier; il a une épouse, je suis célibataire. Il paraît qu'il avait battu son épouse; moi, je suis garçon et je suis rentier... alors son épouse l'a quitté, ou bien il l'a mise à la porte; alors je ne savais pas si elle avait un mari; alors, moi qui suis célibataire, je la croyais veuve et je croyais pouvoir aller causer d'affaires avec elle. N'est-ce pas, messieurs, quand un mari n'habite pas avec sa femme, on ne sait pas... et voilà... on ne peut pas savoir.

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-

M. Doguet. Pour m'associer avec, pour faire le commerce des cartonnages, des petites boîtes pour le jour de l'an... J'ai toujours eu du goût pour les petites boîtes en carton, et comme c'était aussi l'état de votre épouse, j'aurais mis des fonds dans son commerce... Mais, messieurs, un jour il est survenu comme un loup cervier, pendant que nous réglions les bases de notre association, et il m'a abîmé de coups: voilà le procès.

M. Doguet se hate de regagner le fond de la salle et de se dérober aux regards de la foule.

Quelques témoins confirment la déposition du plaignant.

Lamelin est condamné en 25 fr. d'amende et 25 fr. de dommages-intérêts.

(Droil).

THÉATRES.

THEATRE DU PALAIS-ROYAL. Les Economies de Cabochard, vaudeville en un acte, par MM. DUMANOIR et SIRAUDIN. Cabochard est un étudiant en droit qui, las de la vie dissipée qu'il mène et effrayé du chiffre de ses dettes, prend l'héroïque résolution de se renfermer chez lui pour faire des économies. Mais voyez la fatalité! L'infortuné converti dépense en une heure somme considérable : en prêtant à un de ses amis quinze francs qu'il fait passer à travers une fente du parquet; en brisant ses meubles pour faire cuire son déjeûner; en laissant tomber de sa fenêtre un pot de fleurs, qui fait un dégât évalué à soixante-quinze franes; enfin en lançant, pour s'amuser, une pierre qui va casser une glace de cent écus à l'étalage d'un miroitier.

Achard joue seul dans cette pièce; car on saurait compter au nombre des personnages un des amis de Cabochard, dont on ne voit que le bras; un portier, une grisette et un marchand de chansons, dont on entend seulement la voix.

Cette amusante bluette, dont Achard tire un excellent parti, restera long-temps sur l'affiche.

AMAZONES.

MODES.

MODES DES DAMES.

B. G.

Il s'est opéré, cette année, une révolution dans la toilette de cheval des dames; mais il s'en faut de beaucoup que cette révolution ait été universelle, et c'est à bon droit que l'amazone conserve de nombreux partisans. Les vestes chevalières du dix-septième siècle, par lesquelles on cherche à la remplacer, n'ont guères d'autre mérite que le prestige des souvenirs. Leurs longues basques tombant sur les hanches ont un aspect lourd qui déplaît.

Quelquefois le devant de ces vestes se boutonne jusqu'en haut, et elles se terminent par un petit col renversé et arrondi. D'autres fois elles ont des revers semblables à ceux des habits d'hommes, et alors la poitrine se trouve tellement dégagée que l'on est obligé de suppléer à l'insuffisance de la chemisette par un petit gilet de piqué blanc à boutons d'or.

Les manches des vestes sont plates, aussi bien que celles des ama

zones.

Le chapeau à large bord, de création nouvelle, mérite une mention honorable. Il sied parfaitement aux dames, surtout lorsqu'il est orné d'une longue plume, et il est bien préférable au chapeau d'homme, qu'elles s'étaient approprié.

Pendant les grandes chaleurs, quelques dames remplacent la cravate par un ruban de velours attaché avec une boucle d'or.

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arrondies. Pantalon à plis en coutil irlandais. Cravate et chapeau noirs. Cravache à bout flexible. Gants de daim.

Négligé de VILLE.Redingote vert-russe, à deux rangs de boutons en soie de la même couleur, prenant bien la taille; col et revers très plats. Pantalon de nankin. Brodequins-guêtres. Gilet de cachemire blanc et broché. Cravate de soie de couleur.

TOILETTE DE VILLE. Habit lord-Byron, à boutons de soie assortis et à basques larges et couvrant bien les hanches. Pantalon de cachemire gris-perlé. Gilet de piqué brodé. Cravate noire. TOILETTE DU SOIR. Habit noir. Pantalon blanc. Bas de fil d'Écosse. Souliers vernis. Gilet de piqué blanc à boutons d'or. Cravate blanche.

BIBLIOGRAPHIE.

COURONNE POÉTIQUE DE NAPOLÉON (1).

Au moment où le canon des Invalides annonçait à la capitale l'arrivée du cercueil de l'Empereur, l'éditeur Amyot conçut la pensée de réunir en un faisceau toutes les inspirations que cet événement allait faire jaillir de la lyre des poètes; et, peu de temps après, un volume parut sous ce gracieux titre : Couronne poétique de Napoléon.

Deux noms, que la gloire littéraire environne de sa brillante auréole et qui eussent été le plus bel ornement de ce recueil, ont fait défaut à l'appel de l'éditeur. Le livre n'en a pas moins obtenu un honorable succès. L'unique tort que nous reprochons à la plupart des auteurs qui ont concouru à le rédiger, est l'exagération de leur enthousiasme.

Ces réserves faites, nous n'avons que des éloges à donner à cet ouvrage, dont l'exécution littéraire est généralement très remarquable. MM. Roger de Beauvoir, Cordelier Delanoue, Paul Ridder, Edouard d'Anglemont, Bignan, Boulay Paty, Antony Deschamps ont exprimé en beaux vers de belles pensées, et il y a telle feuille de la couronne poétique de Napoléon, qui, signée d'un nom illustre, n'en compromettrait pas la célébrité. B. G.

TABLETTES DES CINQ JOURS.

Faits divers.

25 juin. Le second tableau du sacre commandé à David pour la ville de Milan, alors capitale du royaume d'Italie, a été vendu ce matin à l'hôtel des commissaires-priseurs. Mis à prix à 20,000 fr., puis à 10,000, il n'a trouvé d'enchérisseurs qu'à 500 fr., et il a été poussé à 2,300, prix auquel il a été adjugé à M. Morize, fabricant de nécessaires, et à MM. Chavane et Soeur, marchands de curiosités. On sait que le premier tableau du sacre est au musée de Versailles.

Nous ignorons quel prix a été payé à l'artiste pour le premier exemplaire, le second lui avait été commandé au prix de 75,000 fr. Ce second exemplaire, car ce n'est pas une copie, est absolument dans les mêmes dimensions que le premier, et contient exactement le même nombre de personnages. Il est signé au bas, en grosses capitales : « Commencé à Paris en 1808, terminé à Bruxelles en 1822, pendant mon exil. DAVID. »

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Marcel. Le fils du sieur Duponchel, âgé d'une quinzaine d'années, coif feur de ce théâtre, s'étant avancé vers une ouverture pratiquée à la hauteur du quatrième étage pour donner passage aux décors, voulut saisir une corde placée en dehors; malheureusement le pied lui manqua et il tomba de cette hauteur sur une brouette placée au rez-de-chaussée, où il resta sans mouvement dans la position d'une personne assise. Le médecin et les artistes du théâtre s'empressèrent de lui porter secours; une saignée fut pratiquée sur-le-champ, mais la commotion avait été telle qu'il fut impossible d'obtenir une seule goutte de sang dans le moment. On perdait déjà l'espoir de le rappeler à la vie, lorsqu'au bout de quelques minutes, il rouvrit les yeux ; le sang reprit peu à peu sa circulation, et la saignée put avoir son effet. Quand il eut recouvré l'usage de ses sens, l'homme de l'art le visita de part en part, et il constata que cette terrible chute n'avait produit aucune fracture, aucune luxation. L'imprudent jeune homme en a été quitte pour un engourdissement momentané et quelques contusions qui n'offrent pas la moindre gravité.

-Le Journal de l'Ain a parlé d'un jeune homme mort à la suite d'un repas de cerises sur lesquelles les chenilles avaient passé. L'Echo de la Loire cite un fait identique, mais qui heureusement n'a pas eu des suites aussi graves. Voici son récit :

<«< Dernièrement un enfant, habitant près du quai du Bassin, mangea des cerises sans les laver; bientôt il eut le gosier et la langue excessivement enflés. De prompts secours administrés à propos lui rendirent la parole qu'il avait perdue un instant. »

D'un autre côté, voici ce qu'on écrit de Genève à la Gazette de Làu

sanne :

k

« Cinq ou six enfans appartenant à deux familles de Carouge, après avoir mangé des cerises, se sont trouvés la nuit suivante dans un état d'empoisonnement. D'affreuses coliques les tourmentaient; leurs lèvres mêmes étaient enflées. Heureusement de prompts secours les ont sauvés. On attribue cet accident et d'autres encore du même genre aux chenilles qui, en passant sur les cerises, y ont laissé un dépôt vénéneux. Quoi qu'il en soit, les parens feront bien de n'en pas donner à leurs enfans et de n'en pas manger eux-mêmes sans les avoir lavées, »

27.

On lit dans le Semaphore de Marseille du 23 juin :

« Il n'était question hier dans notre ville que d'un sinistre de mer qui a causé la plus vive impression à la Bourse, et dont les marins italiens garderont long-temps le souvenir. Le Pollux, un des plus élégans bateaux à vapeur de la Méditerranée, qui faisait les voyages de Marseille à Naples, a sombré avec toute sa cargaison dans le canal de l'île d'Elbe, entre Longone et Piombino, à cinq milles de distance de Longone. Ce fâcheux événement a eu lieu le 17 juin, à onze heures du soir. Le Pollux était monté par une cinquantaine d'hommes d'équipage; il y avait à bord quarante-six passagers. Nous sommes heureux d'annoncer que tout le monde a été sauvé, à l'exception d'un vieux capitaine napolitain qui a péri dans les flots. C'est par suite d'une rencontre entre le Pollux et le Mongibello, autre navire à vapeur de nos mers, que le premier de ces bâtimens s'est englouti.

28.

- Il y a deux mois, un habitant des frontières de la Chine, âgé de soixante ans, est arrivé à Saint-Pétersbourg. Il avait mis treize mois à faire, à pied, le trajet de chez lui à Saint-Pétersbourg.

Un jour, comme l'empereur sortait de son palais, cet homme se prosterna devant lui. Nicolas lui ordonna de se relever, et comme il demeurait toujours à genoux, l'empereur lui tendit la main en lui disant : · Relève-toi, parle, et dis-moi ce que tu veux.

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Je suis des terres lointaines, répondit l'homme, et j'ai quitté ma maison, ma femme et mes enfans pour venir voir ta Majesté. Je l'ai vue, et à présent je te demande à voir ta famille impériale.

-Ce que tu désires t'est accordé, répondit Sa Majesté. Demain, viens au palais, tu seras introduit et tu nous verras tous.

Le lendemain, le voyageur ne manqua pas, à l'heure indiquée, de venir au rendez-vous. Peu d'instans après, il se trouvait dans le cabinet de l'empereur; là, toute la famille était réunie. En les voyant tous, le vieil

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lard tomba à genoux en répandant des larmes de joie, de respect et de reconnaissance. L'impératrice se pencha vers lui et l'aida à se relever. Alors toute la famille lui fit mille questions sur les pays lointains qu'il habitait. Ses réponses plurent à l'empereur, elles étaient pleines de sens et de franchise, et il ne repartit qu'en emportant des souvenirs donnés par les membres de l'auguste famille.

Au moment de s'éloigner le voyageur dit :

J'ai encore une grâce à solliciter de ta Majesté; je veux pouvoir prouver aux populations du pays que j'habite, que j'ai obtenu le bonheur qu'elles envient toutes, celui d'avoir vu de près la famille de nos maîtres et d'avoir parlé à ceux, qu'après Dieu, nous honorons le plus sur la terre.

Ce certificat, l'empereur l'a écrit en entier de sa main, et le voyageur, heureux et fier, s'est remis en route pour retourner aux terres lointaines.

- Un Anglais, nommé Campbell, a calculé que l'homme qui vivait soixante-dix ans perdait, en se faisant la barbe chaque jour, comme cela se pratique en Angleterre, le temps nécessaire pour apprendre sept langues.

-On écrit de Stockholm, le 14 juin :

un

« On a enfin résolu un problème dont on cherchait depuis long-temps la solution. Désormais on pourra marcher sur l'eau tout habillé, avec des bottes garnies d'éperons (comme on dit ordinairement). Aujourd'hui on a vu un homme élégamment mis, ayant un cigarre à la bouche, bâton à la main dont il se servait en guise de rame, et à chaque pied un batelet de six à sept aunes (de Suède) de long et de quatre pouces de larges, se promener sur le lac Meler, à l'endroit où ses eaux tombent dans le port de Stockholm.

Ces batelets ressemblent à une espèce de patins que l'on appelle en langue suédoise skidor, et dont se servent souvent les Lapons pour traverser les marais couverts de glaces. M. le lieutenant Hookenberg est l'inventeur de ces promenades sur l'eau. »

On lit dans le Courrier Belge:

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Et il nous en déroulait un morceau.

Il nous a fallu la loupe pour distinguer la réalité de son assertion; car ce drap végétal ressemble beaucoup au drap ordinaire et possède l'avantage de ne coûter que de 70 à 75 centimes le mètre carré. »

On a compté que depuis la mort de Ferdinand VII, en 1831, il y a eu en Espagne 86 ministres, savoir: 10 d'Etat (affaires étrangères), 10 de grâce et de justice, 19 de l'intérieur, 12 des finances, 21 de la guerre, 14 de la marine. Le nombre des officiers généraux est de 64 lieutenans-généraux, 173 maréchaux-de-camp et 372 brigadiers.

Voici une nouvelle que la plupart des journaux ont répété, et qui a toute l'apparence d'un conte fait à plaisir :

La Sublime-Porte a reçu ces jours derniers un rapport des autorités locales de Van, dans l'Arménie turque, qui fait mention d'un phénomène fort étrange.

Il résulte de ce document, qu'à la suite d'une assez forte disette qui avait affligé une partie de la province, le miracle opéré dans le désert au temps de Moïse s'est renouvelé, et qu'il est tombé du ciel une prodigieuse quantité d'une substance grisâtre, de la grosseur d'un fort grêlon, ayant quelque analogie avec la manne en larmes et assez agréable au goût, quoique un peu fade,

Cette matière est tombée en telle abondance, qu'elle s'est amoncelée sur le sol jusqu'à la hauteur de trois ou quatre pouces, et que dans des endroits qui se trouvaient déjà couverts de neiges elle s'est élevée jusqu'à six; enfin elle a suffi pour nourrir les habitans pendant plusieurs jours. La farine, provenant de cette substance, est d'une extrême blancheur, mais elle donne un pain sans saveur quoique fort beau.

La Porte a reçu, avec ledit rapport, des échantillons de cette prétendue manne tombée du ciel, que l'on soumettra probablement à une analyse chimique comme un des moyens d'arriver à la découverte de cet étrange événement.

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Le développement des êtres organisés par son importance et par ses rapports multipliés, embrasse aujourd'hui toute la physiologie, et tend à concentrer cette science en formant le point de départ et de ralliement de toutes les questions principales qui la composent. Sous ce rapport, nous ne saurions trop recommander à l'attention du public éclairé les trois premiers mémoires de M. Jacquemin. Comme dans toutes ses recherches, l'auteur y prend à son origine l'objet dont il traite, le suit dans toutes ses phases et le conduit jusqu'au dernier terme de son développement.

Le mémoire de M. Jacquemin sur l'eau de Selters naturelle, écrit avec une remarquable lucidité, est le seul jusqu'ici qui puisse nous faire connaître d'une manière complète toutes les propriétés chimiques et médicales de cette eau; c'est en même temps un des meilleurs écrits qui aient encore paru sur les eaux minérales en général, et l'on peut dire que l'auteur a rempli une lacune qui jusqu'à présent avait existé dans la science. (Voir l'Annonce.)

En vente, au bureau de la Société de traduction allemande,
quai Malaquais, n. 15.

MÉMOIRES D'ÉMILE JACQUEMIN.

Recherches sur la pneumaticité chez les oiseaux, in-4° avec pl., 4 fr. -Anatomie et physiologie de la corneille; Ire partie, ostéologie, in-4° avec pl., 4 fr. Développement du planarbis cornea, in-4° avec pl. 3 fr. 50 c.- Progrès de l'anatomie et de la physiologie, in-4o, 2 fr. 50 c. Système de la philosophie de la nature, in-4o, 2 fr. 50 c. -Mémoire sur l'eau de Sellers naturelle, in-8° avec pl., 1 fr. 50 c.

BOUCHEIX.

Paris. Imprimerie et lithographie de MAULDE et RENOU, rue Bailleul, 9 et 11, près du Louvre.

TABLE DES MATIÈRES

CONTENUES

DANS LE CABINET DE LECTURE.

1er Semestre 1841.)

(Les titres des ouvrages dont il a été rendu compte sont en italique.)

I.

TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES.

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Aiguille aimantée (Position de l') à di-
verses époques, 271.

Air contenu dans la neige (Analyse de
1'), 271; — de l'air atmosphérique, 557.
Alaon (V. Charte).

Algérie (Commission scientifique de l'),
188.- Ville romaine découverte, 444.

Amant mystérieux (l'), par M. Hippolyte
Lucas, 145.

AMBIGU-COMIQUE ( théâtre de l'): réou-
verture; le Reveil de l'Ambigu, prologue
en 1 a., de M. Dutertre. Jacques Cœur,
drame en 6 tabl., de MM. Anicet Bourgeois
et Alboize, 413. Fabio le novice, drame
en 5 act. de MM. Charles Lafont et Noël
Parfait, 527.

Amour d'une femme (l'), par Mad. Anaïs

Ségalas, 81.

27.

Anguilles (Propriétés singulières des ),

Animaux (Procès faits aux) en Bour-

gogne, 106.

Anne de Boleyn ( V. BOLEYN ).

Antarctiques (Découvertes de terres ),

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seiller-Rapporteur, com. en 3 a., par un

auteur inconnu, avec un prologue par

M. Casimir Delavigne, 366.- Le Gladia-

teur, tragédie en 5 a. et en vers par M.

A. Soumet; Le Chene du roi, com. en 3

a., par le même, 399. La Protectrice,
com. en 1 a., par MM. Emile Sonvestre
et Brune, 479. In Mariage sous Louis
XV, coméd. en 5 a., par M. Alex. Dumas,
511.

François Ier (Combat du roi) contre un
sanglier, 237.

Fregate la Belle-Poule (la), par M. Aris-

tide Guilbert, 71.

Frère de la Merci (le), par M. E. Sue,

131.

Furry-Danse, souvenirs du comté de

Cornouailles, par M. Altaroche, 321.

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