Histoire littéraire d'Italie, Band 1

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chez P. Dufart, 1840 - 504 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 345 - Poi ch' a voi piace, amore, ch' eo deggia trovare, farò onne mia possanza ch' io vegna a compimento ! Dato aggio lo meo core in voi, madonna, amare, e tutta mia speranza in vostro piacimento ! e no mi partiraggio da voi, donna valente, ch...
Seite 424 - In un boschetto trovai pastorella Più che la stella bella al mio parere. Capegli avea biondetti, e ricciutelli, E gli occhi pien...
Seite 314 - ... aux femmes qui en ont plus de vingt-cinq : soyez plus généreux que moi, donnez-leur en trente. » — Les moines n'en veulent accorder que dix. Enfin, après bien des débats, saint Pierre et saint Laurent partagent le différend , et , des deux parts , on jure de maintenir la paix. Mais le...
Seite 482 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique.
Seite 216 - II est impossible que les images les plus agréables ne s'offrent pas abondamment à des poètes (ceux de l'Arabie) qui passent leur vie dans des champs, des bois, des jardins délicieux, qui se livrent tout entiers aux voluptés et à l'amour, qui habitent des contrées où l'éclat et la sérénité du ciel sont rarement obscurcis par des nuages, où la nature comblée, pour ainsi dire, d'une...
Seite 415 - Inventa du sonnet les rigoureuses lois ; Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille , La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille , Et qu'ensuite six vers artistement rangés Fussent en deux tercets par le sens partagés.
Seite 382 - Se aucuns demandoit pourquoi chis livres est écrit en roumans, pour chou que nous sommes Ytalien, je diroie que ch'est pour chou que nous sommes en France , et pour chou que la parleure en est plus délitable et plus commune à toutes gens.
Seite 316 - C'est une satire générale des mœurs de tous les états , depuis l'empereur jusqu'aux aubergistes de village : « L'empereur, dit le poëte, exerce des injustices contre les rois , les rois contre les comtes ; les comtes dépouillent les barons, ceux-ci leurs vassaux et leurs paysans. Les laboureurs , les bergers font à leur tour d'autres injustices. Les gens de journée ne gagnent point l'argent qu'ils exigent. Les médecins tuent au lieu de guérir, et ne s'en font pas moins payer. Les marchands...
Seite 500 - Ce que tu dis doit être vrai ; ne vois-tu pas comme il a la barbe crépue et le teint noirci? c'est le feu et la fumée de l'enfer.
Seite 412 - Si come augello in selvo a la verdura : Non fe amore anzi che gentil core, Ne gentil core anzi ch

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