| Pierre Jean de Béranger - 1829 - 494 Seiten
...m'attache. Mais du toit prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. (bis.) Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a...de serrer La main qu'en passant j'aime à tendre. Seul, au pied d'arbustes en fleurs, Sur le gazon, au bord de l'onde, Si je repose mes douleurs, J'entends... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1832 - 666 Seiten
...m'attacbe. Mais du toit prêt à me bénir Le tourbillon sondain m'arracbe. (kit.\ Plus d'un pauvre v,ent implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a...pas le temps de serrer La main qu'en passant j'aime a tcadre. Toujours, toujours, etc. ;-•.,• 45 *ea Seul, au pied d'arbustes en fleurs, Sur le gazon... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1833 - 250 Seiten
...calamités fécondes , t» 72 «3 Et pour survivre au monde ancien , Des flots j'ai vu sortir deux mondes. Toujours , toujours , Tourne la terre où moi je cours , Toujours , toujours , toujours , toujouri. Dieu m'a change pour me punir : A tout ce cjiii mpurt je m'attache. Mais du toit prêt... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 496 Seiten
...m'attache. Mais du toit prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. (bis.) Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a...je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. t i Seul, au pied d'arbustes eu fleurs, Sur le gazon , au bord de l'onde , Si je repose mes douleurs,... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1834 - 648 Seiten
...debout quand tout succombe. « Tes aïeux ne t'ont point ici « Gardé de place dans leur tombe. » Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours; toujours, toujours. •l'outrageai d'un rire inhumain L'homme-dieu respirant à peine... Mais sous mes pieds fuit le chemin;... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1836 - 464 Seiten
...m'attache. Mais du toit prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a...je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. Faut-il moins que l'éternité Pour délasser d'un tel voyage ? Toujours, toujours, Tourne la terre... | |
| 1836 - 432 Seiten
...m'attache. Mais du toit prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a pas le temps de serrer L:i main qu'en passant j'aime à tendre, Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours,... | |
| Heinrich Gottfried Ollendorff - 1846 - 528 Seiten
...soudпin m'arrache. Plus d'un panvre vient implorer Le deuier que je puis repandre. Qui n'a iris U- temps de serrer La main qu'en passant j'aime à tendre....je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. Senl, an pied d'arhuste* en Pur le gazon, an hord de l'onde, Si je repose mes doulenrs, J'entends le... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1847 - 528 Seiten
...m'attache. Mais du toit prêt à me bénir I,e tourbillon soudain m'arrache. (bis.) Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre, Qui n'a pas le temps de serrer Ia main qu'en passant j'aime à tendre. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours,... | |
| Heinrich Gottfried Ollendorff - 1847 - 540 Seiten
...Plus d'un pauvre vient implorer Le denier queje puis répandre, Ciui n'a pas le lempa de serrer Lu main qu'en passant j'aime à tendre. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cour«, Toujours, toujours, toujours, toujours. Seul, au pied d'arbustes en fleun, Sur le gazon, nu... | |
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