Lettres de la marquise du Deffand à Horace Walpole: écrites dans les années 1766 à 1780, auxquelles sont jointes des lettres de madame du Defand à Voltaire, écrites dans les années 1759 à 1775. Publiées d'après les originaux déposés à Strawberryhill, Band 2 |
Was andere dazu sagen - Rezension schreiben
Es wurden keine Rezensionen gefunden.
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
aime aise amis arrivé assez aujourd'hui aura avez beau cause changer charmante cher Choiseul choses compte comte connaissance contente cour croire crois croyez d'esprit d'être dame demande dernière devant dimanche dire doit donner doute duchesse écrire écrit enfin ennuyeux esprit êtes fais femme fera fille fort frère général gens goût heures heureux homme j'ai j'aurais joue jours jugement jusqu'à l'abbé l'autre laisse lettre lire livres Louis m'en madame du Deffand malheur mandé maréchal mari marquis Mémoires ment mieux mille ministre mois monde Monsieur mort n'ai n'avez n'en Necker nouvelles parler passer peine pense personne petit petite peut-être place plaisir porte pourrait pouvez premier présent presque prince puisse qu'à qu'une quatre raison reçu rendre reste rien s'en s'il sais savez semaine sens sentiments sera seul soir sortes souper souvent tête trait trouve venir vérité vient voilà Voltaire voudrais voulez voyez vrai Walpole
Beliebte Passagen
Seite 176 - II ne manque à mon front que le bandeau royal. Cependant (des mortels aveuglement fatal !) De cet amas d'honneurs la douceur passagère Fait sur mon cœur à peine une atteinte légère; Mais Mardochée assis aux portes du palais Dans ce cœur malheureux enfonce mille traits: Et toute ma grandeur me devient insipide Tandis que le soleil éclaire ce perfide. HYDASPE. Vous serez de sa vue affranchi dans dix jours : La nation entière est promise aux vautours.
Seite 309 - Celte déclaration était conçue de la manière suivante : « le sousigné déclare, qu'étant attaqué depuis quatre jours d'un vomissement de sang, à l'âge de quatre-vingt-quatre ans, et n'ayant pu me traîner à l'église, M.
Seite 441 - Lieu prendre, qu'un seul malheur dans la vie qui est celui d'être né. Il n'ya aucun état, quel qu'il puisse être qui me paraisse préférable au néant. Et vous-même qui êtes M.
Seite 144 - ADIEU, ce mot est bien triste ; souvenez-vous que vous laissez ici la personne dont vous êtes le plus aimé, et dont le bonheur et le malheur consistent dans ce que vous pensez pour elle. Donnez-moi de vos nouvelles le plus tôt qu'il sera possible. Je me porte bien, j'ai un peu dormi, ma nuit n'est pas finie ; je serai très-exacte au régime, et j'aurai soin de moi puisque vous vous y intéressez.
Seite 432 - ... malsonnantes sur la morale ; dont tous les raisonnements sont des sophismes, des paradoxes. On voit clairement qu'ils n'ont d'autre but que de courir après une célébrité où ils ne parviendront jamais ; ils ne jouiront pas même de la gloriole des Fontenelle et la Motte, qui sont oubliés depuis leur mort ; mais eux, ils le seront de leur vivant ; j'en excepte, à toutes sortes d'égards, M.
Seite 324 - Denis ; c'est une bonne grosse femme, sans esprit, mais qui a un gros bon sens, et l'habitude de bien parler, qu'elle a sans doute prise avec feu son oncle. Elle est (comme je crois vous l'avoir déjà mandé) sa légataire universelle ; elle aura plus de...
Seite 417 - Prallne (c'est une expression de madame de Luxembourg); je dois me borner à ne vous dire que ce qui peut vous exciter à me parler. Mais , Monsieur , si vous aviez autant de bonté que je voudrais , vous auriez un cahier de papier sur votre bureau , où vous écririez dans vos moments de loisir tout ce qui vous passerait par la tête. Ce serait un recueil de pensées , d'idées , de réflexions que vous n'auriez pas encore mises en ordre.
Seite 479 - J'ai tant de choses à vous dire, que je ne sais par où commencer ; allons, suivons l'ordre chronologique, et commençons par ce qui regarde la Chronologie du président, dont vous m'avez parlé dans votre dernière lettre.
Seite 429 - J'étais en colère contre vous ; votre dernière lettre m'avait déplu ; vous m'y annonciez que vous ne m'enverriez plus rien, vous me reprochiez d'aimer Fréron ; vous me traitiez comme l'amie ou l'alliée des Pompignan et des Palissot ; j'en ai été indignée et on le serait à moins ; mais faisons la paix ; venez, que je vous embrasse. Je fus avant-hier à la première représentation de Tancrède. J'y ai pleuré à chaudes larmes ! j'avais été quelques semaines auparavant à l'Écossaise,...
Seite 467 - ... chaire; je fais grand cas des rêves, je n'avais pas imaginé qu'ils pussent être utiles dans ces occasions, mais je suis convaincue aujourd'hui qu'ils doivent avoir toute préférence sur les raisonnements. Il faut, monsieur, avant que je finisse cette lettre, que j'obtienne de vous une grâce, mais il faut que ce soit tout à l'heure : c'est votre statue ou votre buste qu'on a fait à Saint-Claude; on dit que vous y êtes parfaitement ressemblant, j'ai la plus extrême impatience de l'avoir....