Jésus-Christ et sa doctrine: Histoire de la naissance de l'église, de son organisation et de ses progrès pendant le premier siècle, Volume 1A. Guyot et Scribe, 1838 - 580 pages |
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Jésus-Christ et sa doctrine: Histoire de la naissance de l'église ..., Volume 1 Joseph Salvador Affichage du livre entier - 1838 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 244 - Les augures et les aruspices étaient proprement les grotesques du paganisme ; mais on ne les trouvera point ridicules si on fait réflexion que, dans une religion toute populaire comme celle-là , rien ne paraissait extravagant; la crédulité du peuple réparait tout chez les Romains : plus une chose était contraire à la raison humaine, plus elle leur paraissait divine.
Page 153 - Au fond c'est reculer la difficulté sans la détruire ; il serait plus inconcevable que plusieurs hommes d'accord eussent fabriqué ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en ait fourni le sujet. Jamais des auteurs juifs n'eussent trouvé ni ce ton, ni cette morale ; et l'Évangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l'inventeur en serait plus étonnant que le héros.
Page 225 - Pour moi, je ne le connaissais pas; mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau m'a dit : Celui sur qui vous verrez descendre et demeurer le Saint-Esprit, est celui qui baptise dans le Saint-Esprit. . 34. Je l'ai vu, et j'ai rendu témoignage qu'il est le Fils de Dieu.
Page 461 - ... se formaient en assemblées publiques pour se communiquer leurs réflexions. Les femmes étaient séparées de la salle commune, suivant l'usage ordinaire des Juifs, par une cloison qui leur permettait de tout entendre sans être vues. La sobriété des thérapeutes dépassait tout ce qu'on raconte des pythagoriciens. Ils ne faisaient chaque jour, et après le coucher du soleil, qu'un seul repas composé de pain, de quelques racines et de sel. Ils restaient souvent plusieurs jours sans recourir...
Page 456 - Laotseu dans l'Occident, et ne laisse aucun doute sur l'origine de sa doctrine. Vraisemblablement il la tenait ou des Juifs des dix tribus que la conquête de Salmanazar venait de disperser dans toute l'Asie , ou des apôtres de quelque secte phénicienne , à laquelle appartenaient aussi les philosophes qui furent les maîtres et les précurseurs de Pythagore et de Platon. En un mot, nous...
Page 456 - Il ya dans les excursions lointaines quelque chose de romanesque qui nous les rend à peine croyables. Nous ne saurions nous imaginer qu'à ces époques reculées , où la géographie était si peu perfectionnée et le monde encore enveloppé d'obscurité , des philosophes pussent, par l'effet d'une louable curiosité, quitter leur patrie et parcourir, malgré mille obstacles et en traversant des régions inconnues , des parties considérables de l'ancien continent. Mais...
Page 440 - J'ai pensé en mon cœur sur l'état des hommes, que Dieu les en éclaircirait, et qu'ils verraient qu'ils ne sont que des bêtes. 19 Cor l'accident qui arrive aux hommes, et l'accident qui arrive aux bêtes, est un même accident ; telle qu'est la mort de l'un, telle est la mort de l'autre ; et ils ont tous un même souffle, et l'homme n'a point d'avantage sur la bête ; car tout est vanité.
Page 371 - Si donc tu présentes ton offrande à l'autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère ; puis, viens présenter ton offrande.
Page 400 - C'est le profond secret qui a été gardé sur Adam dans toute la terre habitable, excepté en Palestine, jusqu'au temps où les livres juifs commencèrent à être connus dans Alexandrie, lorsqu'ils furent traduits en grec sous un des Ptolémées.
Page 459 - Ils se considéraient comme morts à la société active. Après avoir abandonné tous leurs biens à leurs parents ou à leurs amis, ils se retiraient dans des lieux écartés, nullement par haine du genre humain, mais afin de se livrer en paix à l'adoration de Dieu et à la contemplation de la nature. Leurs maisons étaient entourées de jardins dans des positions saines, sur le penchant des collines ; on les choisissait assez rapprochées les unes des autres, pour ne pas se priver des secours...