Schriften: Ein Denkmal von G. Schlesier. Briefe u. Vertraute Blätter. Kleinere Schriften. Briefwechsel zwischen Gentz u. J.V. Müller mit einem Anhang vermischter Briefe, Band 3 |
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Seite vii
... Schriftsteller , Friedrich v . Genk , zu sehen unter- nahmen . Ich gestehe Ihnen gerne , daß mich die Einleis tung in ihrer ganzen Haltung überraschte , in der Haupt- fache befriedigte und nur in wenigen Beziehungen hinter meinen ...
... Schriftsteller , Friedrich v . Genk , zu sehen unter- nahmen . Ich gestehe Ihnen gerne , daß mich die Einleis tung in ihrer ganzen Haltung überraschte , in der Haupt- fache befriedigte und nur in wenigen Beziehungen hinter meinen ...
Seite viii
... Schriftsteller vor die Augen der Mit- und Nachwelt zu führen , so haben Sie sich gar bald genöthigt gesehen , aus diesem Kreise hinauszutreten , den Staatsmann , den Menschen mit in Ihre Schilderung aufzunehmen . Alle Briefe , die Sie ...
... Schriftsteller vor die Augen der Mit- und Nachwelt zu führen , so haben Sie sich gar bald genöthigt gesehen , aus diesem Kreise hinauszutreten , den Staatsmann , den Menschen mit in Ihre Schilderung aufzunehmen . Alle Briefe , die Sie ...
Seite xii
... Schriftsteller , noch als Staatsmann , noch als Menschen hoch genug . Ihnen , der so viele Verehrung für ihn dar- legt , darf ich das wohl sagen und erwarte dafür eher Ihren Dank als Ihren Tadel . Als Schriftsteller schen Sie ihn unter ...
... Schriftsteller , noch als Staatsmann , noch als Menschen hoch genug . Ihnen , der so viele Verehrung für ihn dar- legt , darf ich das wohl sagen und erwarte dafür eher Ihren Dank als Ihren Tadel . Als Schriftsteller schen Sie ihn unter ...
Seite xiii
... Schriftsteller irgend einer Zeit scheuen darf . Wenn Rousseau die obersten Fragen staats- rechtlicher Verhältnisse mit Kühnheit und Geist behandelte , - wenn Montesquieu ein System mit Gedankenschärfe und Würde aus Geschichte und ...
... Schriftsteller irgend einer Zeit scheuen darf . Wenn Rousseau die obersten Fragen staats- rechtlicher Verhältnisse mit Kühnheit und Geist behandelte , - wenn Montesquieu ein System mit Gedankenschärfe und Würde aus Geschichte und ...
Seite xiv
... Schriftsteller keinen Vergleich mit den Leistungen der von Ihnen genannten , und als Staatsmann ist ohnedies keiner mit denen zulässig , die auf diesem Felde niemals ihre Kräfte erprobt haben . Wer vergliche Leffing , der über Laokoon ...
... Schriftsteller keinen Vergleich mit den Leistungen der von Ihnen genannten , und als Staatsmann ist ohnedies keiner mit denen zulässig , die auf diesem Felde niemals ihre Kräfte erprobt haben . Wer vergliche Leffing , der über Laokoon ...
Beliebte Passagen
Seite 74 - Ils reconnaissent formellement que leurs devoirs envers Dieu et envers les peuples qu'ils gouvernent leur prescrivent de donner au monde, autant qu'il est en eux, l'exemple de la justice, de la concorde, de la modération, heureux de pouvoir consacrer désormais tous leurs efforts à protéger les arts de la paix, à accroître la prospérité intérieure de leurs états, et à réveiller ces sentiments de religion et de morale dont le malheur des temps n'a que trop affaibli l'empire.
Seite 72 - Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme sa base fondamentale leur invariable résolution de ne jamais s'écarter, ni entre eux, ni dans leurs relations avec d'autres États, de l'observation la plus stricte des principes du droit des gens, principes qui, dans leur application à un état de paix permanent, peuvent seuls garantir efficacement l'indépendance de chaque gouvernement et la stabilité de l'association générale.
Seite 73 - États, de l'observation la plus stricte des principes du droit des gens, principes qui, dans leur application à un état de paix permanent, peuvent seuls garantir efficacement l'indépendance de chaque gouvernement et la stabilité de l'association générale. Fidèles à ces principes, les souverains les maintiendront également dans les réunions auxquelles ils...
Seite 72 - ... calme et constante dans son action , elle n'a pour but que le maintien de la paix et la garantie des transactions qui l'ont fondée et consolidée. Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme sa base fondamentale leur invariable résolution de ne jamais s'écarter ni entre eux, ni dans leurs relations avec d'autres...
Seite 72 - L'objet de cette union est aussi simple que grand et salutaire. Elle ne tend à aucune nouvelle combinaison politique, à aucun changement dans les rapports sanctionnés par les Traités existants. Calme et constante dans son action, elle n'a pour but que le maintien de la paix et la garantie des transactions qui l'ont fondée et consolidée. Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme...
Seite 73 - ... auraient formellement réclamé leur intervention. Le même esprit qui dirigera leurs conseils et qui régnera dans leurs communications diplomatiques , présidera aussi à ces réunions, et le repos du monde en sera constamment le motif et le but. « C'est dans ces sentimens que les souverains ont consommé l'ouvrage auquel ils étaient appelés.
Seite 73 - Fidèles à ces principes , les souverains les maintiendront également dans les réunions auxquelles ils assisteront en personne , ou qui auraient lieu entre leurs ministres , soit qu'elles aient pour objet de discuter en commun leurs propres intérêts, soit qu'elles se rapportent à des questions dans lesquelles d'autres gouvernemens auraient formellement réclamé leur intervention.
Seite 71 - L'union intime, établie, entre les monarques associés à ce système, par leurs principes non moins que par l'intérêt de leurs peuples , offre à l'Europe le gage le plus sacré de...
Seite 70 - A l'époque où la pacification de l'Europe est achevée par la résolution de retirer les troupes étrangères du territoire français et où cessent les mesures de précaution que des événements déplorables avaient rendues nécessaires, les ministres et plénipotentiaires de LL.
Seite 15 - ... sur les individus, s'il n'a pas pu enfin réaliser cette perfection idéale de l'ordre social, après laquelle les esprits éclairés et les âmes bienveillantes de tous les siècles ont soupiré en vain, il a fait au moins ce que sa mission directe lui enjoignait, ce que les bornes de sa durée, l'étendue et la variété de ses objets, et les circonstances difficiles dans lesquelles il était placé, lui permettaient de faire. Il a réglé des intérêts, dont le choc pouvait précipiter l'Europe...