Schriften: Ein Denkmal von G. Schlesier. Briefe u. Vertraute Blätter. Kleinere Schriften. Briefwechsel zwischen Gentz u. J.V. Müller mit einem Anhang vermischter Briefe, Band 3 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 22
Seite xv
... Oesterreich sie theilte , und daß die beiden durch ihre Stellung gerade damals wichtigsten Kabinette darüber sich klar und nachdrücklich genug ausgesprochen hatten . Die Voraussetzung , daß Genk in den späteren Jahren seines Lebens von ...
... Oesterreich sie theilte , und daß die beiden durch ihre Stellung gerade damals wichtigsten Kabinette darüber sich klar und nachdrücklich genug ausgesprochen hatten . Die Voraussetzung , daß Genk in den späteren Jahren seines Lebens von ...
Seite xvii
... Oesterreich machte . Ich möchte unsere Tages- helden , die einen Mann wie Geng abfertigen , als håtte er der Brofamen ihrer Weisheit bedurft , auf der glühenden Platte einer solchen Arbeit sehen und sehen , was sie leisten ! Und wieder ...
... Oesterreich machte . Ich möchte unsere Tages- helden , die einen Mann wie Geng abfertigen , als håtte er der Brofamen ihrer Weisheit bedurft , auf der glühenden Platte einer solchen Arbeit sehen und sehen , was sie leisten ! Und wieder ...
Seite xlv
... Oesterreich ist der Friede wohlfeil gekauft . Ach , wenn diese nur untergingen , welche Wol- luft wäre der Sturz der Monarchie ! Aber die Provinzen , die Ehre , Deutschland , Europa verlieren und die Zichy , die Ugarte , die Cobengl ...
... Oesterreich ist der Friede wohlfeil gekauft . Ach , wenn diese nur untergingen , welche Wol- luft wäre der Sturz der Monarchie ! Aber die Provinzen , die Ehre , Deutschland , Europa verlieren und die Zichy , die Ugarte , die Cobengl ...
Seite 39
... Oesterreich das Werk nicht vollbracht werden konnte , war damals so unverkennbar , als es heute ist . Aber Defter- reich , jede andere Rücksicht verbannend , als welche die gemeinschaftliche Wohlfahrt ihm vorschrieb , weder die sei- nen ...
... Oesterreich das Werk nicht vollbracht werden konnte , war damals so unverkennbar , als es heute ist . Aber Defter- reich , jede andere Rücksicht verbannend , als welche die gemeinschaftliche Wohlfahrt ihm vorschrieb , weder die sei- nen ...
Seite 52
... Oesterreich gerichtet . Er ist , nicht blos im gesellschaftlichen oder moralischen Sinne des Wortes , sondern in bester Form Rechtens gesprochen , ein Libell , und wie sehr auch die Meinungen über die Gränzen der Preßfreiheit in ...
... Oesterreich gerichtet . Er ist , nicht blos im gesellschaftlichen oder moralischen Sinne des Wortes , sondern in bester Form Rechtens gesprochen , ein Libell , und wie sehr auch die Meinungen über die Gränzen der Preßfreiheit in ...
Beliebte Passagen
Seite 74 - Ils reconnaissent formellement que leurs devoirs envers Dieu et envers les peuples qu'ils gouvernent leur prescrivent de donner au monde, autant qu'il est en eux, l'exemple de la justice, de la concorde, de la modération, heureux de pouvoir consacrer désormais tous leurs efforts à protéger les arts de la paix, à accroître la prospérité intérieure de leurs états, et à réveiller ces sentiments de religion et de morale dont le malheur des temps n'a que trop affaibli l'empire.
Seite 72 - Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme sa base fondamentale leur invariable résolution de ne jamais s'écarter, ni entre eux, ni dans leurs relations avec d'autres États, de l'observation la plus stricte des principes du droit des gens, principes qui, dans leur application à un état de paix permanent, peuvent seuls garantir efficacement l'indépendance de chaque gouvernement et la stabilité de l'association générale.
Seite 73 - États, de l'observation la plus stricte des principes du droit des gens, principes qui, dans leur application à un état de paix permanent, peuvent seuls garantir efficacement l'indépendance de chaque gouvernement et la stabilité de l'association générale. Fidèles à ces principes, les souverains les maintiendront également dans les réunions auxquelles ils...
Seite 72 - ... calme et constante dans son action , elle n'a pour but que le maintien de la paix et la garantie des transactions qui l'ont fondée et consolidée. Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme sa base fondamentale leur invariable résolution de ne jamais s'écarter ni entre eux, ni dans leurs relations avec d'autres...
Seite 72 - L'objet de cette union est aussi simple que grand et salutaire. Elle ne tend à aucune nouvelle combinaison politique, à aucun changement dans les rapports sanctionnés par les Traités existants. Calme et constante dans son action, elle n'a pour but que le maintien de la paix et la garantie des transactions qui l'ont fondée et consolidée. Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme...
Seite 73 - ... auraient formellement réclamé leur intervention. Le même esprit qui dirigera leurs conseils et qui régnera dans leurs communications diplomatiques , présidera aussi à ces réunions, et le repos du monde en sera constamment le motif et le but. « C'est dans ces sentimens que les souverains ont consommé l'ouvrage auquel ils étaient appelés.
Seite 73 - Fidèles à ces principes , les souverains les maintiendront également dans les réunions auxquelles ils assisteront en personne , ou qui auraient lieu entre leurs ministres , soit qu'elles aient pour objet de discuter en commun leurs propres intérêts, soit qu'elles se rapportent à des questions dans lesquelles d'autres gouvernemens auraient formellement réclamé leur intervention.
Seite 71 - L'union intime, établie, entre les monarques associés à ce système, par leurs principes non moins que par l'intérêt de leurs peuples , offre à l'Europe le gage le plus sacré de...
Seite 70 - A l'époque où la pacification de l'Europe est achevée par la résolution de retirer les troupes étrangères du territoire français et où cessent les mesures de précaution que des événements déplorables avaient rendues nécessaires, les ministres et plénipotentiaires de LL.
Seite 15 - ... sur les individus, s'il n'a pas pu enfin réaliser cette perfection idéale de l'ordre social, après laquelle les esprits éclairés et les âmes bienveillantes de tous les siècles ont soupiré en vain, il a fait au moins ce que sa mission directe lui enjoignait, ce que les bornes de sa durée, l'étendue et la variété de ses objets, et les circonstances difficiles dans lesquelles il était placé, lui permettaient de faire. Il a réglé des intérêts, dont le choc pouvait précipiter l'Europe...