Oeuvres choisies de Marmontel ... |
Was andere dazu sagen - Rezension schreiben
Es wurden keine Rezensionen gefunden.
Inhalt
344 | |
347 | |
351 | |
356 | |
407 | |
456 | |
465 | |
484 | |
230 | |
250 | |
261 | |
296 | |
300 | |
303 | |
315 | |
326 | |
495 | |
499 | |
507 | |
510 | |
532 | |
544 | |
556 | |
565 | |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
anciens appelle assez aurait beau beauté belle besoin caractère cause changer chant charme choses Cicéron commun côté coup crime d'être demande devait dieux dire disait doit donner douleur effet enfin esprits exemple exprimer facile faible femme fond force forme génie genre goût Grecs hommes idée images intéressant juges juste l'action l'ame l'art l'autre l'éloquence l'esprit l'expression l'histoire l'homme l'image l'ode l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue lieu lui-même malheur ment mère merveilleux mieux modèle monde moral mort mots mouvements moyens n'en nature naturel nombre objet parler parole passer passions pathétique peint pensée père période personnages peuple place plaisir poème poésie poète porte premier présente presque pris propre qu'à qu'un quelquefois raison rapide règle rendre rien s'il saisir scène semble sens sensible sentiment serait seul simple sort souvent style sujet suppose tableau théâtre tion touchant traits trouve vérité veut vices vient vive voilà voit voix Voyez vrai yeux
Beliebte Passagen
Seite 389 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide! De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes?
Seite 342 - Songe , songe , Céphise , à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus , les yeux étincelants , Entrant à la lueur de nos palais brûlants , Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et de sang tout couvert , échauffant le carnage...
Seite 558 - Mais je me sens jaloux de tout ce qui te touche, De l'air qui, si souvent, entre et sort par ta bouche; Je crois qu'à ton sujet le soleil fait le jour Avecque des flambeaux et d'envie et d'amour.
Seite 410 - L'art plus heureux de séduire les cœurs, De cent plaisirs font un plaisir unique.
Seite 309 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Seite 558 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Seite 32 - ... de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage ; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...
Seite 341 - Et ces lauriers encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence. Ciel ! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Seite 112 - D'os et de chairs meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux...
Seite 141 - Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux. Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.