Mémoire à consulter sur un système religieux et politique: tendant à renverser la religion, la société et le trôneFrançois-Dominique de Reynaud comte de Montlosier, François Dominique comte de Reynaud de Montlosier A. Dupont et Roret, 1826 - 339 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
actuel affiliés anciennes assemblées aujourd'hui autorité beau Bossuet caractère cardinal catholique cesse Chambre Chambre des pairs Charles X choses chrétienne citoyens civile classes clergé composé congré congrégation conserver conspiration constitution corps côté Cour royale crimes délits devoir dévote Dieu dire doctrine domination doute égard enfans esprit établi évêques fidélité Frayssinous gallicane général gladio glaive gouvernement Henri IV hommes institutions j'accuse j'ai jésuites jourd'hui l'amour l'autorité l'effet l'Église l'État l'obéissance l'ultramontanisme législateur lois Louis XIV luddistes magistrats manière ment ministère mœurs monarque monde Montrouge morale mouvement moyen nation non-seulement nouvelle objet pape par-là parler particulière pensée père personnes peuple Pie VII politique porte pré préfet prélat premier présente prêtres prince principes puissance qu'un quelquefois reli religieux religion respect révolution rois Rome royaume sacerdoce saint Saint-Siége sais sance sentimens sentiment sera seulement social société Société de Jésus Sorbonne souverain souveraineté spirituelle sujet système temporelles tion tout-à-fait trône trouve ultramontains veut zèle
Beliebte Passagen
Seite 60 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : « que toute personne soit soumise aux puissances supérieures, car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre : celui dpnc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de Dieu.
Seite 152 - J'ai le glaive de Constantin à la main, et vous y avez celui de Pierre; donnons-nous la main, et joignons le glaive au glaive. » Que ceux qui n'ont pas la foi assez vive pour craindre les coups invisibles de votre glaive spirituel tremblent à la vue du glaive royal.
Seite 218 - Vous renfermez vos vases sacrés dans des tabernacles; vous ne les produisez aux regards publics, même au culte, qu'avec ménagement : faites-en autant de vos prêtres. Ne permettez pas à ces ciboires et à ces calices d'aller parader dans nos fêtes. Les femmes sont des fleurs; les mettre dans les affaires, c'est les faner. Les prêtres sont des vases saints, les employer aux usages du monde, c'est les profaner.
Seite 61 - Dieu dans les choses temporelles; qu'ils ne peuvent être déposés directement ni indirectement par l'autorité des chefs de l'Église; que leurs sujets ne peuvent être dispensés de la soumission et de l'obéissance qu'ils leur doivent, ou absous du serment de fidélité; et que cette doctrine, nécessaire pour la tranquillité publique, et non moins avantageuse à l'Église qu'à l'État, doit être inviolablement suivie, comme conforme à la parole de Dieu, à la tradition des saints Pères...
Seite 60 - Jésus-Christ, et que toute l'Église même, n'ont reçu de puissance de Dieu que sur les choses spirituelles et qui concernent le salut, et non point sur les choses temporelles et civiles, Jésus-Christ nous apprenant lui-même que son royaume n'est point de ce monde...
Seite 17 - LA puissance mystérieuse qui, sous le nom de CONGRÉGATION , figure aujourd'hui sur la scène du monde , me paraît aussi confuse dans sa composition que dans son objet , dans son objet que dans son origine. Il m'est aussi difficile de dire avec précision ce qu'elle est, que de montrer au temps passé, comment elle s'est successivement formée, étendue, organisée.
Seite 57 - Faculté , que les sujets du roi lui doivent tellement la fidélité et obéissance, qu'ils n'en peuvent être dispensés sous quelque prétexte que ce soit. 4.
Seite 332 - ... iraient à détruire la loi naturelle, cette règle des mœurs que Dieu luimême a imprimée dans le cœur des hommes, et par conséquent à rompre tous les liens de la société civile, en autorisant le vol, le mensonge, le parjure, l'impureté la plus criminelle, et généralement toutes les...
Seite 47 - Ils se connaissaient bien l'un l'autre. Peu de jours avant sa mort, il dit au roi : Sire, je vous demande en grâce de choisir mon successeur dans notre compagnie. Elle est très-attachée à votre majesté, mais elle est fort étendue, fort nombreuse, et composée de caractères très-différents, tous passionnés pour la gloire du corps.
Seite 226 - Philis s'est rendue à ma foi. Qu'eût-elle fait pour sa défense ? Nous n'étions que nous trois : elle, l'Amour et moi, Et l'Amour fut d'intelligence.