 | Stéphanie-Félicité Du Crest Genlis (comtesse de).) - 1823 - 484 pages
...chenue de leurs hôtes. » Or, la pluie et le coup de vent des morts bat(a) Notre Seigneur a dit : ' En quelque ville ou en quelque village que vous » entriez , informez-vous qui est digne de vous loger » Entrant dans la maison , saluez-la en disant : (^ue la » paix soit dans... | |
 | 1837 - 744 pages
...chemin, ni deux habits, ni fouliers, ni bâton ; car celui qui travaille mérite qu'on le nourriffe. -H. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y eft digne de vous loger , & demeurez chez lui jufqu'à ce que vous vous en alliez. 4'l. Entrant dans... | |
 | 1843 - 474 pages
...deux habits, ni souliers , ni bâton ; car celui qui travaille , mérite qu'on le nourrisse. 1 1 . En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y est digne de vous loger, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans... | |
 | René François Rohrbacher - 1843 - 576 pages
...deux tuniques , ni plusieurs chaussures , ni des bâtons ; car l'ouvrier est digne de sa pourriture. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez , informez-vous qui y en est digne , et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. Or, en entrant dans la maison,... | |
 | Gustave d' Eichthal - 1863 - 970 pages
...ni deux habits, ni souliers, ni bâton ; car celui qui travaille mérite qu'on le nourrisse (a). 11. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui est digne de vous lo.jer, et demeurez chez lui j usqu'à ce que vous vous en alliez . 12. Entrant dans... | |
 | Gustave d' Eichthal - 1863 - 952 pages
...ni deux habits, ni souliers, ni bâton ; car celui qui travaille mérite qu'on le nourrisse (a). 11. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui est digne de vous lojcr, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans... | |
 | P.-J. Proudhon - 1866 - 450 pages
...chemin, ni deux habits, ni «paliers, ni bâtons ; car celui qui travaille mérite qu'on le nourU. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y est digne de vous loger, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans... | |
 | 1866 - 448 pages
...chemin, ni deux habits, ni souliers, ni bâtons; car celui qui travaille mérite qu'on le nourrisse. 11. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y est digne devons loger, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans... | |
 | Pierre-Joseph Proudhon - 1866 - 474 pages
...chemin, ni deux habits, ni souliers, ni bâtons; car celui qui travaille mérite qu'on le nourrisse. H. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y est digne de vous loger, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans... | |
 | M. Perdau - 1897 - 860 pages
...chemin, ni deux habits, ni sandales, ni bâton : car celui qui travaille mérite qu'on le nourrisse. 11. En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui est digne, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans la maison, saluez-la,... | |
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En quelque ville ou en quelque village que vous entriez, informez-vous qui y est digne de vous loger, et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous vous en alliez. 12. Entrant dans la maison, saluez-la, en disant : Que la paix soit dans cette maison. 