| Louis Racine - 1750 - 380 Seiten
...cette maudite avanture, & ce qui peut arriver à un homme endormi qui fe fert d'un rechaut. Mais c'eft encore bien pis dans ce pays. Je vous jure que j'ai autant befoin d'un interprète, qu'un Mofcovite en auroit befoin dans Paris. Néanmoins je commence à m'appercevoir... | |
| Louis Philipon de la Madelaine - 1761 - 368 Seiten
...voulut qu'ayant demandé àune fervante un pot de chambre , elle mit un réchaut fous mon lit. Maisc'eft encore bien pis dans ce pays. * Je vous jure que j'ai autant befoin d'un interprete, qu'un Mofcovite en? auroit befoin dans Paris. Néanmoins je commence à m'appercevoir... | |
| Jean Racine - 1796 - 496 Seiten
...deux jours sur le Rhône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence. J'avais commencé dès Lyon à ne plus guère entendre le langage du pays, et à n'être plus intelligible moi-même. Ce malheur s'accrut à Valence, et Dieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
| Jean Racine - 1801 - 330 Seiten
...et ce qui peut arriver à un homme endormi qui se sert d'un réchaud pour ses nécessités de nuit. Mais c'est encore bien pis. dans ce pays : je vous jure que j'ai autant besoin d'un interprete qu'un Moscovite en auroit besoin dans Paris. Néanmoins je commence à m'appercevoir que... | |
| Martin Luther - 1806 - 786 Seiten
...arriver à un bom. me endormi qui fe fert d'un réchaut dans ces -né, ccffités de nuit. Mais c'eft encore bien pis dans ce pays. Je vous jure que j'ai autant bofoin d'utt .interprète, q\? un Mojcovite en aurait iefoiu tnanmeljrbenán<]fííid)en Jjpofmanu... | |
| Jean Racine - 1811 - 524 Seiten
...deux jours sur le Rhône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence. J'avois commencé dès Lyon à ne plus guère entendre le langage du pays, et à n'être plus intelligible moi-même. Ce malheur s'accrut à Valence, etDieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
| Jean Racine - 1813 - 324 Seiten
...deux jours sur le Rhône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence. J'avois commencé dès Lyon à ne plus guère entendre le langage du pays, et à n'être plus intelligible moi-même. Ce malheur s'accrut à Valence 3 et Dieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
| 1822 - 402 Seiten
...deux jours sur le Rhône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence. J'avois commencé dès Lyon à ne plus guère entendre le langage du pays , et à n'être plus intelligible moimême. Ce malheur s'accrut à Valence, et Dieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
| 1822 - 832 Seiten
...jours sur le Rhône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence. J'avois commencé dès Lyon à ne plns guère entendre le langage du pays, et à n'être plus intelligible moimême. Ce malheur s'accrut à Valence, et Dieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
| 1823 - 340 Seiten
...deux jours sur le fchône, et nous couchâmes à Vienne et à Valence, J'avois commence dès Lyon à ne plus guère entendre le. langage du pays, et à n'être plus intelligible moi-même Ce malheur s'accrut à Valence , et Dieu voulut qu'ayant demandé à une servante un pot de chambre,... | |
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