Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux Antilles

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A. Cadot, 1856 - 306 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 148 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Seite 149 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Seite 148 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, • Tendre au fer de Calchas une tête innocente ; Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Seite 149 - M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot; c'est à vous de m'entendre. J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jusqu'au cœur que vous voulez percer, Voilà par quels chemins vos coups doivent passer.
Seite 112 - EtatsUnis est incalculable, et le bonheur des pompiers à les éteindre est vraiment indicible. Il faut avoir été dans le pays, y avoir vécu longtemps, pour se faire une juste idée du pompier américain, de sa passion étrange pour les pompes à incendie, qu'il décore de fleurs, qu'il embellit de toutes façons et avec lesquelles il se promène souvent pour le seul plaisir de se montrer avec une jolie pompe. Il n'ya pas de bonne fête sans pompiers et par conséquent sans pompes, car les pompiers...
Seite 146 - Sais-tu quel est Pyrrhus? T'es-tu fait raconter Le nombre des exploits... Mais qui les peut compter ? Intrépide, et par-tout suivi de la victoire, Charmant, fidèle ; enfin rien ne manque a sa gloire.; Songe...
Seite 141 - Cet empire absolu sur la terre et sur l'onde, Ce pouvoir souverain que j'ai sur tout le monde, Cette grandeur sans borne et cet illustre rang...
Seite 217 - ... femme comme moi ! Mais Dieu protège les braves, et il semble avoir créé tout exprès pour moi un petit coin inconnu de toutes les géographies, où je puis oublier mes fatigues, mes peines, ma vieillesse prématurée et pourtant vous lancez votre vilain canard au milieu des oiseaux qui perchent sur mes branches , et qui me chantent les petites et bonnes chansons du retour! le mien invraisemblable, et celui du printemps! « Si j'étais morte en Amérique, vous eussiez, oh! j'en suis bien sûre,...
Seite 154 - N'allez pas sur la rive lointaine Affronter au hasard la vie américaine. Ce monde est en travail: il demande des bras. Et non pas du génie. Il ne comprendra pas La langue de Corneille, étrangère, inconnue... N'allez pas! » m'at-on dit. Et moi, je suis venue. Apôtre confiante, avec moi, sous vos cieux, J'ai porté mon espoir, mon oracle et mes Dieux. J'ai parlé devant vous la langue du génie. Pour imposer silence à qui vous calomnie, Voici votre réponse. Elle est dans cet accueil Qui me...
Seite 168 - C'est re qu'a toujours affirmé la femme de Williams. De plus, le, nom de ce prétendu fils ne se trouve point sur les registres où il est fait mention de la naissance des autres enfants de Williams. Il ya quoiqucs années, mourut à la Nouvelle-Orléans un Français dont le nom était Bellanger.

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