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Les freins sont d'or, les selles d'argent sont mises.

Cil

sunt muntet ki le message firent;

Ceux-là sont montés qui le message firent;

95 Enz en lur mains portent branches d'olive.

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Vinrent à Charles, qui France a en son pouvoir :
Ne s'poet guarder que alques ne l' engignent.

Il ne se peut garder qu'un peu де le trompent. Aol.

I.

TABLES

TABLE PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE 1

A

ACCENT TONIQUE. Son influence sur la formation de la langue française, 406. - Et comment il est un des principaux éléments de la versification rythmique, dans l'antiquité et au moyen age, 441-443.

ACQUIN, Chanson de geste de la fin du xe siècle. Analyse, 365. ADDITIONS au manuscrit d'Oxford, d'après les autres manuscrits. Le texte de ces additions, qui forment un total de plus de cinq cents vers, est imprimé en italiques, et les raisons de chacune d'elles sont exposées dans les Notes de notre 70 édition, 405 et suiv. AIX-LA-CHAPELLE. Description du palais et de la chapelle d'Aix, d'après toutes nos Chansons de geste, 8, 9. ALMACE, épée de Turpin, 198, 199. AMBASSADEURS. Leur rôle dans les Chansons de geste, 46.

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ANGLETERRE. La Chanson de Roland y a été composée par un Normand, XXI-XXII, 46, 401, etc. ponse à MM. G. Paris et W. Forster, qui supposent le Roland écrit en France, XXII-XXII. ANGLO-NORMAND. Caractères de ce prétendu dialecte, L. - Le manuscrit d'Oxford est l'œuvre d'un scribe anglo-normand qui a maladroitement copié un texte normand, XXVIII, 401.

ANNALES longtemps attribuées à Eginhard, et qui sont l'œuvre d'Angilbert. Texte important où l'historien raconte la déroute de Ronce

-

vaux, XIV.

ANSEÏS le vieux, un des douze Pairs, 14, 15.

ANSEIS DE CARTHAGE, Chanson de geste du XIIIe siècle. Analyse, 370, 371. Cf. 15.

AOI. Cette notation termine chacun des couplets du Roland. - Des différentes explications qui ont été successivement proposées, 4, 5. ARMURES. 384-397, et fig. 4-16. V. Costume de guerre.

ASPREMONT, Chanson de geste du commencement du XIIe siècle. Analyse, 359.

ASSONANCES ET RIMES. Théorie complète, xxvIII et ss. — De l'utilité des assonances pour l'établissement d'un texte critique, XLIX, 401. ASTRONOME LIMOUSIN. Texte célèbre de cet historien, relatif à la défaite de Roncevaux, XIV. AUDE, fiancée de Roland, 330. AVRIL (baron d'). Son excellente traduction du Roland (1865, 1866, 1877),

XLV.

B

BALIGANT, émir de Babylone. Résumé de son histoire poétique, 244, 245. — L'épisode de Baligant, dans le Roland, a-t-il fait réellement partie du texte primitif, 244. BATAILLE. Description d'une bataille d'après nos Chansons de geste, 112, 113.

BATAILLE DE RONCEVAUX, petit livre néerlandais du xve siècle, xxXIX. BAYEUX (TAPISSERIE DE). Elle est à peu près de la même époque que

1 Les chiffres romains se rapportent à l'Introduction, et les chiffres arabes an livre luimême.

397.

notre poème. Son importance dans l'histoire du costume de guerre, 395, Figure empruntée à cette tapisserie, et qui représente à peu près toutes les armes dont il est question dans le Roland, 395. Cf. 245, 392. BERENGIER. un des douze Pairs, 78. BERTE AUX GRANDS PIES, poème du XIe siècle. Analyse, 357. BIBLIOTHÈQUE BLEUE. Nos Chansons de geste y reçoivent leur dernière forme, XLIV. BEHMER (Ed.). Un des derniers éditeurs du Roland (1872). Nous lui avons emprunté plusieurs corrections,

XLV, XLVI.

BOUCLE, BOUCLIER, 54, 55; 393, 394. V. Écu.

BUTENTROT, nom d'une vallée de Cappadoce, qui fut célèbre durant la première croisade, comme le lieu où se séparèrent Baudouin et Tancrède. Ce mot prouve-t-il que le Roland soit postérieur aux dernières années du XIe siècle, 290.

C

C dans les langues romanes. Théorie de M. Joret. Voy. notre 70 édition, 411, 412; 467, 468.

CAMBRIDGE. Remaniement conservé au Trinity College, xxxv; 398, 401. CANELIUS. Ce sont des Chananæi,

292.

CANTILÈNE DE SAINTE-EULALIE.

Traduction nouvelle, précédée d'un commentaire, 408.

CANTILENES, chants populaires, moitié narratifs, moitié lyriques.-Comment, depuis le VIIIe siècle, un certain nombre de ces cantilènes ont été consacrées à Roland et à Roncevaux. Et comme quoi ces chants ont précédé l'épopée. Deux preuves à l'appui, tirées de la Vie de saint Faron (IXe siècle) et de la Vie de saint Guillaume (XIIe siècle), XVI-XIX. CARCASSONNE. Récit légendaire de la prise de cette ville, 43. CHANSON DE ROLAND. Des éléments historiques que renferme la Chanson de Roland: textes d'Éginhard, d'Angilbert et de l'Astronome Limousin, relatifs à la défaite de Roncevaux, XII-XV. - Des sept modifications principales que la Légende a apportées à l'Histoire, xv-XVI.

Comme quoi l'Epopée française a été

précédée par des Chants populaires, dont un certain nombre étaient consacrés à Roncevaux, XVI-XIX.- Une première Chanson de Roland a dů être composée vers la fin du xe siècle, vers le commencement du XIe siècle. Argument tiré de deux personnages de notre poème, Geoffroi d'Anjou et Richard de Normandie, xvI. — Le texte que nous publions est la plus ancienne rédaction du Roland qui soit parvenue jusqu'à nous. Il est postérieur à la conquête de l'Angleterre par les Normands (1066), et antérieur à la première croisade (1096), XIX-XXIV.-L'auteur du Roland`est un Normand qui a vécu en Angleterre; mais rien ne prouve, d'une façon CERTAINE, que ce soit Turoldus ou Touroude, XXIV-XXVI.- Du manuscrit où est conservé le Roland, xXVI-XXVII. (Cf. le fac-simile à la p. 400.) — Histoire des différents textes où nous avons puisé nos leçons, 338-402. — De la langue du Roland, xxvIII. De sa versification, XXVIII-XXX. — De son style, XXX-XXXIV. De ses remaniements, et comme quoi ils ont eu pour origine la nécessité où l'on s'est trouvé un jour de changer en rimes les assonances primitives, xxxV-XXXVIII.

La Chanson de Roland a été célèbre dans tout le monde occidental. Sa popularité en Allemagne, XXXVIII; dans les pays néerlandais, xxXIX, et scandinaves, XXXIX - XL; en Angleterre, XL;

en Italie, XL, XLI; en Espagne, XLI, XLII, et surtout en France, XLII, XLIII. Comment, au moment de la Renaissance, le Roland a été soudain dédaigné et oublié; et qu'il faut descendre jusqu'au XIXe siècle pour assister à sa seconde popularité, XLIII, XLIV. Éditions et traductions de la Chanson de Roland; travaux dont elle a été l'objet, XLIV - XLVII.— Caractères qui distinguent la présente édition; éléments qu'elle renferme; principes sur lesquels repose notre texte critique; plan détaillé de toute notre œuvre, XLVII - LII. Cf. 398-402. Introduction, I et ss. Texte critique, Traduction et Commentaire, p. 1 et ss. - Éclaircissements (sur l'Histoire poétique de Charlemagne et de Roland, sur le Costume de guerre, sur l'établissement du texte), 355 et ss. - Phonetique, Grammaire, Rythmique, 403 et ss. Glossaire, 445 et ss. V. Illustration, etc.

CHANSON DES SAISNES, poème

de la fin du XIe siècic. Analyse, 371, 372. CHANSONS DE GESTE. Ce que c'est qu'une Chanson de geste, i. Un certain nombre de ces poèmes ont été perdus, 66. CHARLEMAGNE. Son Histoire poétique d'après toutes nos Chansons de geste, 357 (Eclaircissement I). Tableau, par ancienneté, des sources de cette Histoire poétique, 374-376.

Portrait de Charlemagne et description de sa cour d'après le Roland et nos autres poèmes, xxxiv, 16,54. Une journée de l'Empereur, d'après nos textes poétiques, 66, 67. CHARLEMAGNE. Poème, ou plutôt ensemble de poèmes, de la fin du XIIe siècle, qui nous ont été conservés dans un manuscrit de Venise, 358, 359.

CHARLEMAGNE. Compilation de Girart d'Amiens, au commencement du XIVe siècle. Analyse, 357, 358. CHATEAUROUX. C'est à la bibliothèque de cette ville qu'est conservé le remaniement du Roland qui est connu sous le nom de « texte de Versailles », xxxv, 398-402. CHEVAL. Son équipement, d'après les Chansons de geste, 126-128, 158, 395

397.

CHRISTIANISME. V. Religion. CONJUGAISON ROMANE. Théorie complète, 431-435.

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CHRONIQUE DE TURPIN. De l'âge exact de ce document. Les cinq premiers chapitres ont été composés vers le milieu du XIe siècle, et les autres entre les années 1109-1119. Analyse complète de la Chronique de Turpin, 369, 370. Enumération des œuvres poétiques du moyen âge qui se sont inspirées du faux Turpin, 370, 371. On trouve dans le faux Turpin un état de la légende rolandienne plus ancien que dans notre poème, XVI. COSTUME DE GUERRE. Traité complet, 384-397 (Éclaircissement III). 1. De l'ARMURE OFFENSIVE. 10 L'épée, 384-386. Cf. 48, 49, 62, 220.—20 La lance ou l'espiet, avec le gonfanon, 386-388. (Cf. 56, 57, etc.) II. De L'ARMURE DEFENSIVE. 10 Le heaume, 390, 391 (Cf. 62, 63, 122, 152, 306, 307). 20 Le haubert, 391, 393 (Cf. 42, 69, 100, 101, 102, 119, 153). 30 L'écu, 393, 394 (Cf. 54, 55, 118, 119, 278).= De l'équipement du cheval, 395-397 (Cf. 114, 153). Le cor, 102, 103, 394. Toute cette partie de notre travail est illustrée d'après les

Sceaux des XI-XIIe siècles, d'après la tapisserie de Bayeux et d'autres monuments figurés (figures 4-16). COUPLET. Théorie du Couplet épique, 439-441. Cf. 70, 71.- Des « Couplets similaires ». Exposé des diverses théories auxquelles ils ont donné lieu Conclusion, 9, 10.

COURONNEMENT LOOYS, Chanson de geste du XIIe siècle. Analyse, 374.

D

DÉCASYLLABE dérive de l'iambique trimètre hypercatalectique, 443. DÉCLINAISON ROMANE. Théorie complète, 428-430.

DENIER DE SAINT PIERRE, 40. DESTRUCTION DE ROME, chanson de geste du XIIe ou XIIIe siècle, 366. DIALECTES de la langue française, 414; dialecte spécial du Roland, XXVIII, 401.

DIEU. De l'idée de Dieu dans nos Char

sons de geste, et en particulier dans le Roland, 16, 17. DROIT. Le droit et la procédure, qui sont exposés dans le Roland, sont d'origine germanique, 330, 331. DUREÑDAL, épée de Roland. Son histoire, 88-91; 218.

E

ÉCU, 393, 394. Cf. 54, 55, 118, 119.

278.

EGINIARD. Texte célèbre de la Vita Karoli (cap. Ix). C'est le plus ancien et le plus précieux de tous ceux qui nous ont conservé le récit de la déroute de Roncevaux, XIII, XVI. ENFANCES OGIER, poème d'Adenès (XIIIe siècle), 358, 359. ENTRÉE EN ESPAGNE, Chanson de geste des XII-XIVe siècles. Analyse très détaillée, 366-367; 379-380. ÉPÉE, 384-386. Cf. 48, 49, 62, 220. ERRATA. V., à la fin du volume, 606.

ESPAGNE. De l'expédition de 778 en Espagne, d'après l'histoire et d'après la légende, 2. Elle dure sept ans d'après le Roland, et vingt-sept d'après Gui de Bourgogne, 2, 3. L'Espagne, au point de vue géogra

phique, voy. notre 7 édition, 398 et | suiv. - D'après les cartes des x10XIIe siècles, elle n'a pas de profondeur, et nos poètes croyaient qu'elle s'arrêtait à l'Ebre, 11. ESPIET, 387.

EULALIE (Cantilène de sainte-), traduction nouvelle, précédée d'un commentaire, 408.

F

FAC-SIMILE du manuscrit d'Oxford, 400. FIERABRAS, Chanson de geste du XIIe siècle. Analyse, 365, 366. FORSTER (W.) Son « Tableau de filiation » des textes français du Roland, 398. Nous lui devons une revision attentive de notre Glossaire.

=

Indépendamment de ses observations que nous avons citées in extenso, nous avons encore profité de ses remarques aux mots suivants : Acraventet, adeiset, aire, bruill, caable, certes, ces, chalengement, chef, coillit, deintiet, dès, desmaillet, einz, encoi, consoul, cum, eslisent, esteiles, estoet, estreit, faldesloed, fieble, firie, graigne, gueredun, guerreier, heingre, helz, hosturs, iloec, issi, iiant, malvais, marrenes, martre, men, monie, mot, mun, nevuld, nu, nuns, orié, palmeiant, percier, plusur, predet, primes, proz, quat, quite, recumenz, reprover, sire, soens, suavet, suduiant, suffraite, sumer, terremoete, tinel, trosset, uncore, vielz.

FRANCE. Quel est le sens exact du mot «France » dans le Roland, 6.

Histoire des origines et de la formation de la langue française, 405407. Premiers monuments de la langue et de la poésie françaises, traduits et commentés, 407-414. Caractère français de notre vieux poème, XLIII.

G

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GAIDON, Chanson de geste du XIIIe siècle. Ánalyse, 370, 371. GALIEN, Chanson de geste, 365

25.

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GANELON, Son Histoire poétique, 23, C'est le type du traitre plutôt qu'un personnage historique, xv. — Comment il fait son apparition dans la légende de Roland, xv.- Résumé et commentaire de son procès, 330, 331. GENIN. Son édition du Roland en 1851, XLV.

GEOFFROI D'ANJOU dans l'histoire et dans la légende, 15. GEOGRAPHIE du Roland. Tout l'Éclaircissement IV lui est spécialement consacré dans notre 70 édition.

De la géographie fabuleuse, des XI-XIIe siècles, 94, 95, 291.- Énumération des peuples païens qui composent la grande armée de l'émir Baligant. Explication de chacun de leurs noms, 288, 289. Commentaires sur les mots suivants: Argoilles, 293. Aspre, 84. Balaguet, 10, Bire (terre de), 350, 351. Butentrot, 290. Canelius, 292.

11.

Cerdagne, 399-401. Imphe, 350, 351.Narbonne, 325, 326. Noples, 24-26. Pine (terre de), 25, 26. Puillanie, 219. Sebile, 26. Sizre, 50, 59. Tuele, 26. Turteluse, 88. Valterne, 199, 200. GERIER ET GERIN, deux des douze Pairs, 15.

GESTE FRANCOR. Ce qu'il faut entendre par ces mots, 134, 135. GILLES (SAINT). Son Histoire poétique, 199-201.'

GIRARS DE VIANE, Chanson de geste des premières années du XIIIe siècle. Analyse, 359, 360. GIRART DE FRAITE, 79. GIRART DE ROUSSILLON. Abrégé de son Histoire poétique, 78, 79. GLOSSAIRE. Chaque mot y est accompagné de son étymologie, de l'indication de ses différents sens et d'un certain nombre d'exemples méthodiquement classés, 445 et suiv. GONFANON, 15, 388, 389. GRAAL (SAINT). Exposé sommaire de la légende, 236, 237. GRAMMAIRE complète du Roland, 428-437.- Cette Grammaire est précédée d'une Phonétique, 405-427, et suivie d'une Rythmique, 438-443. Cf. sur la Déclinaison romane les pp. 428430 sur la conjugaison, les pp. 441435, etc.

GUI DE BOURGOGNE, Chanson de geste du XIIe siècle. Analyse, 368. GUILLAUME de Gellone (saint). Il est, comme Roland, le centre de tout un cycle épique, XVII-XIX. La Vita sancli Willelmi appartient au commencement du XIIe siècle, xvIII.

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