J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au monde. La redoute était de nouveau enveloppée de fumée. J'étais entouré de blessés et de morts. Mon capitaine était étendu à mes pieds: sa tête avait été broyée par un boulet, et j'étais... Revue française - Seite 1141829Vollansicht - Über dieses Buch
| Prosper Mérimée - 1845 - 476 Seiten
...épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux , surpris de me trouver encore au inonde. La redoute était de nouveau enveloppée de fumée....compagnie il ne restait debout que six hommes et moi. » A ce carnage succéda un moment de stupeur. Le colonel , mettant son chapeau au bout de son épée, gravit... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable , suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...capitaine était étendu à mes pieds : sa tête avait cté broyée par un boulet, et j'étais couvert de sa cervelle et de son sang. De toute ma compagnie... | |
| Jean Roemer - 1851 - 490 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...compagnie il ne restait debout que six hommes et moi. Je frissonnai, et je crus que ma dernière heure était venue. " Voilà la danse qui va commencer !... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet, Louis F Chaumont - 1852 - 338 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivis de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...compagnie il ne restait debout que six hommes et moi. A ce carnage succéda un moment de stupeur. Le colonel, mettant son chapeau au bout de son épée, gravit... | |
| Prosper Mérimée - 1852 - 468 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...compagnie il ne restait debout que six hommes et moi. « A ce carnage succéda un moment de stupeur. Le colonel, mettant son chapeau au bout de son épée, gravit... | |
| Antonin Roche - 1854 - 704 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...compagnie il ne restait debout que six hommes et moi. « A ce carnage succéda un moment de stupeur. Le colonel , mettant son chapeau au bout de son épée ,... | |
| 1855 - 1124 Seiten
...fusils. Je fermai le) yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...morts. Mon capitaine était étendu à mes pieds : sa tète avait été broyée par un boulet, et j'étais couvert' de sa cervelle et de son sang. De toute... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au monde. La redoute était de nouveau enveloppée dé fumée. J'étais entouré de blessés et de morts. Mon capitaine était étendu à mes pieds :... | |
| Prosper Mérimée - 1862 - 472 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...morts. Mon capitaine était étendu à mes pieds : sa téta avait été broyée par un boulet, et j'étais couvert de sa cervelle et de son sang. De toute... | |
| Léonce Stièvenard - 1863 - 462 Seiten
...fusils. Je fermai les yeux, et j'entendis un fracas épouvantable, suivi de cris et de gémissements. J'ouvris les yeux, surpris de me trouver encore au...compagnie, il ne restait debout que six hommes et moi. A ce carnage succéda un moment de stupeur. Le colonel, mettant son chapeau au bout de son épée, gravit... | |
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