Analisi della felicità

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Guida Editori, 1985 - 392 Seiten

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Inhalt

Abschnitt 1
7
Abschnitt 2
11
Abschnitt 3
27
Abschnitt 4
37
Abschnitt 5
47
Abschnitt 6
65
Abschnitt 7
105
Abschnitt 8
120
Abschnitt 13
185
Abschnitt 14
203
Abschnitt 15
217
Abschnitt 16
234
Abschnitt 17
248
Abschnitt 18
262
Abschnitt 19
287
Abschnitt 20
311

Abschnitt 9
137
Abschnitt 10
145
Abschnitt 11
159
Abschnitt 12
170
Abschnitt 21
327
Abschnitt 22
372
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Beliebte Passagen

Seite 185 - Martialis, haec sunt: res non parta labore sed relicta; non ingratus ager, focus perennis; lis numquam, toga rara, mens quieta; vires ingenuae, salubre corpus; prudens simplicitas, pares amici, convictus facilis, sine arte mensa; nox non ebria sed soluta curis. non tristis torus et tamen pudicus; somnus qui faciat breves tenebras: quod sis esse velis nihilque malis; summum nec metuas diem nee optes (x.
Seite 379 - Le plaisir de l'âme étant la vraie source du bonheur, il est donc très évident que, par rapport à la félicité, le bien et le mal sont en soi fort indifférents et que celui qui aura une plus grande satisfaction à faire le mal sera plus heureux que quiconque en aura moins à faire le bien.
Seite 137 - Let us define mental health as the adjustment of human beings to the world and to each other with a maximum of effectiveness and happiness. Not just efficiency, or just contentment — or the grace of obeying the rules of the game cheerfully. It is all of these together. It is the ability to maintain an even temper, an alert intelligence, socially considerate behavior, and a happy disposition. This, I think, is a healthy mind.
Seite 297 - Et sur ce pied-là, j'oserais soutenir que même en cette vie les biens surpassent les maux, que nos commodités surpassent nos incommodités, et que M. Descartes a eu raison d'écrire ' que « la raison naturelle nous apprend que nous avons plus de biens que de maux en cette vie.
Seite 155 - On est plus heureux dans la solitude que dans le monde. Cela ne viendrait-il pas de ce que dans la solitude on pense aux choses, et que dans le monde on est forcé de penser aux hommes...
Seite 390 - L'idée de la souffrance préalable s'associe à l'idée du travail, on a peur de chaque nouvelle œuvre en pensant aux douleurs qu'il faudra supporter d'abord pour l'imaginer. Et comme on comprend que la souffrance est la meilleure chose que l'on puisse rencontrer dans la vie, on pense sans effroi, presque comme à une délivrance, à la mort.
Seite 145 - Les plus belles œuvres des hommes sont obstinément douloureuses. Que serait le récit du bonheur? Rien que ce qui le prépare, puis ce qui le détruit, ne se raconte. Et je vous ai dit maintenant tout ce qui l'avait préparé.
Seite 299 - Ce qu'ils appellent insipidité, je l'appelle tranquillité ; et je conviens que la vie la plus comblée de ces sortes de plaisirs n'est guère qu'une vie tranquille. Mais quelle idée at-on de la condition humaine, quand on se plaint de n'être que tranquille?

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