France ne seroit donc plus qu'un lieu de passage ; chacun n'auroit donc plus regret de la dépouiller pour en enrichir les autres nations O ma patrie , je verserai des larmes sur ton sort, mais je ne t'abandonnerai que le dernier . De l'impot progressif, et du morcellement des patrimoines - Seite 94 von Jean-Baptiste-Moïse Jollivet - 1793 - 103 Seiten Vollansicht -
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