La fin du XVIIIe siècle: le duc de Nivernais, 1763-1798

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Calmann Lévy, 1891 - 475 Seiten
 

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Seite 98 - États vous offrent une retraite paisible : je vous veux du bien, et je vous en ferai, si vous le trouvez bon. Mais si vous vous obstiniez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne.
Seite 129 - J'ai l'honneur d'être très parfaitement, Monsieur, » Votre très humble et très obéissant serviteur,
Seite 192 - ... la probité, ni dont les écrits et les discours soient répréhensibles, par rapport aux matières de religion et de gouvernement. Ainsi, je lui recommande, comme je l'ai déjà fait, d'apporter la plus grande attention à ne me proposer que des sujets dont les principes et les mœurs soient sans reproches, et je vous ordonne de faire inscrire ma présente lettre sur les registres de la compagnie, pour y être consultée et lue, à commencer de ces mots : Mon Académie doit s'attendre, etc.,...
Seite 159 - me l'a fait connaître , quoiqu'il la connût , et il n'ose pas la voir ; » et la seule fois qu'il l'a vue un moment, c'est par mon ordre » exprès. J'ai pensé la connaître avant son mariage.
Seite 98 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez : je suis Roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement ne vous arrivera pas vis-à-vis de vos ennemis, je cesserai de vous persécuter, quand vous cesserez de mettre votre gloire à l'être.
Seite 13 - Voyez l'ordre suivant , relatif a d'Eon. commissions que je lui ai données, je veux bien lui assurer un traitement annuel de douze mille livres, que je lui ferai payer exactement tous les six mois, dans quelque pays qu'il soit, hormis en temps de guerre chez mes ennemis, et ce jusqu'à ce que je juge à propos de lui donner quelque poste dont les appointements soient plus considérables que le présent traitement. Louis. A Versailles, ce 1
Seite 320 - Si la liberté individuelle n'eût pas été formellement menacée, si l'on n'avait pas mis en pratique le dogme insensé, prêché par les factieux, que les crimes de la multitude sont les jugements du ciel, la France eût conservé les trois quarts de ses fugitifs. Exposés depuis deux ans à des dangers ignominieux, à des outrages de tout genre, à des persécutions innombrables, au fer des assassins, au brandon des incendiaires, aux plus infâmes délations...
Seite 220 - Dans la juste douleur qui m'accable et que je partage avec tout le royaume, j'ai de grands devoirs à remplir. Je suis roi, et ce...
Seite 273 - Elle est le fruit du goût, de l'estime et du temps. On ne s'y méprend plus, on cède à son empire, Et l'on joint sous les cheveux blancs Au charme de s'aimer, le droit de se le dire.
Seite 159 - Elle n'a nulle haine contre vous ; elle connaît votre esprit et ne vous veut point de mal. Le déchaînement contre elle a été affreux, à tort pour la plus grande partie. L'on serait à ses pieds si...

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