...droit, au nom de sa tendresse, de souhaiter pour lui certains soins physiques et moraux, l'Etat •j le droit de vouloir qu'on en fasse un citoyen plein...constitution, aimant les lois, aimant le pays, ayant les penchons qui peuvent contriItuer à la grandeur, à la prospérité nationales. Certes, quiconque nieroit...

...l'Etat » a bien le droit de vouloir quelque chose au sujet de » l'enfant qui vient de naître, ... de vouloir qu'on en fasse » un citoyen plein de l'esprit de la constitution... Certes, » quiconque nierait cela nierait la patrie et ses droits ! » (P. 10.) Nous venons de voir...

...de faire élever l'enfant iTune manière conforme à la constitution du pays L'État, dit il encore, a le droit de vouloir qu'on en fasse un citoyen plein de l'esprit de la constitution » Voilà les premières paroles de l'auteur. Je cherche h en pénétrer le sens. Sans doute, elles...

...nom de sa ten» dresse, de soubaiter pour son enfant certains soins pbysiques et moraux, » l'État a le droit de vouloir qu'on en fasse un citoyen plein...constitution, aimant les lois, aimant le pays, ayant les pencbants » qui peuvent contribuer à la grandeur, à la prospérité nationales. Certes, » quiconque...

...le droit, au nom de sa tendresse, de souhaiter pour lui certains soins physiques et moraux, l'État a le droit de vouloir qu'on en fasse un citoyen plein...lois, aimant le pays, ayant les penchants qui peuvent contribuer à la grandeur, à la prospérité nationales. Certes, quiconque nierait cela nierait la...

...le droit, au nom de sa tendresse, de souhaiter pour lui certains soins physiques et moraux, l'État a le droit de vouloir qu'on en fasse un citoyen plein...lois, aimant le pays, ayant les penchants qui peuvent contribuer à la grandeur, à la prospérité nationales. Certes, quiconque nierait cela nierait la...