Il ya environ trois cents manuscrits à la bibliothèque que j'ai tous tenus et feuilletés, en buvant étrangement de poussière. Tous nos messieurs qui nous regardaient faire, ne nous considéraient pas autrement que comme des soldats français qui... Bibliothèque de l'École des chartes - Seite 258von Société de l'Ecole des chartes (France) - 1846Vollansicht - Über dieses Buch
| 1846 - 566 Seiten
...l'auteur et s'en était plaint aux puissances. Dom Germain écrit indigné : ° II me paraît hien de la légèreté dans le procédé de M. l'Abbé...avril). Les lettres de Germain seules ont ce caractère etcet intérêt; mais, si toutes les autres n'ont pas le même mérite, on ne saurait douter cependant... | |
| Jean Mabillon - 1846 - 426 Seiten
...église. Les archives n'ont rien de plus ancien que le onzième siècle. Il ya environ trois cents manuscrits à la bibliothèque que j'ai tous tenus...cordelier, tant nos habits étaient gris de poussière. Nous y avons trouvé de quoi l'aire parler de Lucques; et, ce qui est meilleur, le brave M. Fiorentini... | |
| Jean Mabillon - 1847 - 494 Seiten
...église. Les archives n'ont rien de plus ancien que le onzième siècle. Il ya environ trois cents manuscrits à la bibliothèque que j'ai tous tenus...cordelier , tant nos habits étaient gris de poussière. Nous y avons trouvé de quoi faire parler de Lucques; et, ce qui est meilleur, le brave M. Fiorentini... | |
| 1847 - 1180 Seiten
...Italiens l'ardeur quo dom Jean et lui-même apportaient au travail. « Tous nos messieurs, dit-il, qui nous regardaient faire, ne nous considéraient...cordelier, tant nos habits étaient gris de poussière. » Malgré sa modestie bien sincère, l'humble et savant bénédictin jouissait comme d'un véritable... | |
| Henri Jadart - 1879 - 308 Seiten
...écrivait de Florence en 1686 : " Tous nos Messieurs, qui nous regardoient faire, ne nous considéroient pas autrement que comme des soldats français qui montent à l'assaut. En effet, il y faisoit chaud , et l'on me prenoit quasi pour un cordelier, tant nos habits étoient gris de poussière.... | |
| Académie nationale de Reims (France) - 1880 - 838 Seiten
...de Lacques, D. Germain écrivait de Florence en 1686 : • Tous nos Messieurs, qui nous regardoient faire, ne nous considéraient pas autrement que comme...français qui montent à l'assaut. En effet, il y faisoit chaud , et l'on me prenoit quasi pour un cordelier, tant nos habits étoient gris de poussière.... | |
| Emmanuel de Broglie - 1888 - 850 Seiten
...église. « Les archives n'ont rien de plus ancien que le « onzième siècle. Il ya environ trois cents manuscrits « à la bibliothèque, que j'ai tous tenus...en « buvant étrangement de poussière. Tous nos mes« sieurs qui nous regardaient faire ne nous considé« raient pas autrement que comme des soldats... | |
| 1912 - 676 Seiten
...trois cents manuscrits. « Tous ces Messieurs qui nous regardaient faire, notait encore Dom Germain, ne nous considéraient pas autrement que comme des...Cordelier, tant nos habits étaient gris de poussière ! » Ces moines aimaient à être gris de poussière, comme les grognards à être noirs de poudre.... | |
| 1889 - 676 Seiten
...Germain, tout joyeux; — je les ai tous tenus et « feuilletés en buvant étrangement de poussière. Nos messieurs qui « nous regardaient faire, ne nous...comme des soldats français qui montent à l'assaut. » II va sans dire que, dans ces voyages, ce sont surtout les richesses de l'érudition qui les attirent... | |
| Académie nationale de Reims - 1880 - 808 Seiten
...écrivait de Florence en 1686 : « Tous nos Messieurs, qui nous regardoient faire, ne nous considéroient pas autrement que comme des soldats français qui montent à l'assaut. En effet, il y faisoit chaud , et l'on me prenoit quasi pour un cordelier, tant nos habits étoient gris de poussière.... | |
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