Oeuvres complètes de Voltaire: MélangesHachette, 1860 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 100
Seite 4
... cent mille écus de présents , soit aux seigneurs flamands qui venaient lui rendre leurs respects , soit aux députés des villes , soit aux envoyés des princes qui venaient le complimenter ; et il suivait en cela son goût pour la magni ...
... cent mille écus de présents , soit aux seigneurs flamands qui venaient lui rendre leurs respects , soit aux députés des villes , soit aux envoyés des princes qui venaient le complimenter ; et il suivait en cela son goût pour la magni ...
Seite 5
... cents millions , qui en font plus de neuf cents de notre espèce actuelle . M. le duc de Créqui lui disait : << Sire , vous avez beau faire , vous n'en ferez jamais qu'un favori sans mérite . >> Les chefs - d'œuvre de sculpture furent ...
... cents millions , qui en font plus de neuf cents de notre espèce actuelle . M. le duc de Créqui lui disait : << Sire , vous avez beau faire , vous n'en ferez jamais qu'un favori sans mérite . >> Les chefs - d'œuvre de sculpture furent ...
Seite 8
... cents vais- seaux , en comptant les alléges ; soixante mille matelots enclassés en 1681 , outre ceux qu'il avait déjà formés ; le port de Toulon , celui de Brest et de Rochefort bâtis ; cent cinquante citadelles construites ; l'é ...
... cents vais- seaux , en comptant les alléges ; soixante mille matelots enclassés en 1681 , outre ceux qu'il avait déjà formés ; le port de Toulon , celui de Brest et de Rochefort bâtis ; cent cinquante citadelles construites ; l'é ...
Seite 11
... cent mille hommes , qui portèrent avec eux dans les pays étran- gers environ un milliard d'argent , tous les arts , et leur haine contre leur patrie . La Hollande , l'Angleterre , l'Allemagne , furent peuplées de ces fugitifs ...
... cent mille hommes , qui portèrent avec eux dans les pays étran- gers environ un milliard d'argent , tous les arts , et leur haine contre leur patrie . La Hollande , l'Angleterre , l'Allemagne , furent peuplées de ces fugitifs ...
Seite 12
... cents per- sonnes en périrent à Paris . La maladie s'étendit dans presque toute la France . Elle enleva en Lorraine ... cent mille francs qui étaient en dépôt chez les chartreux , et à mettre à la place des billets de monnaie , dans un ...
... cents per- sonnes en périrent à Paris . La maladie s'étendit dans presque toute la France . Elle enleva en Lorraine ... cent mille francs qui étaient en dépôt chez les chartreux , et à mettre à la place des billets de monnaie , dans un ...
Inhalt
1 | |
13 | |
22 | |
45 | |
65 | |
140 | |
141 | |
162 | |
292 | |
304 | |
350 | |
356 | |
374 | |
390 | |
396 | |
424 | |
165 | |
166 | |
177 | |
181 | |
186 | |
206 | |
214 | |
219 | |
222 | |
243 | |
256 | |
263 | |
272 | |
291 | |
426 | |
439 | |
443 | |
444 | |
458 | |
493 | |
497 | |
501 | |
512 | |
520 | |
544 | |
557 | |
559 | |
573 | |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Akakia âme assez aurait auteur avaient avez beau c'était Calas cardinal de Fleury cardinal de Richelieu cent choses chrétiens christicoles citoyens cœur condamné crime Dieu dire dit-il divines donner écrit enfants ennemis esprit êtes eût femme fille fils François Ier frère Fréron gens gloire goût gouvernement guerre Hamlet homme imprimé j'ai jamais Jean Calas Jean-Jacques jésuites Joseph Saurin jour Journal de Trévoux juges Juifs justice l'abbé l'auteur l'esprit l'Europe Lavaisse lettres livre lois Louis XIV LUCRÈCE MADAME DE MAINTENON Mahomet main maître malheureux ment mille milord ministre Mme du Châtelet monde monsieur mort n'avait n'en n'était nation ouvrage parler passé penser père personne peuple philosophe pièces plaisir poëte POSIDONIUS premier prétendu prêtres prince Prusse public qu'un raison religion ridicule rien rois royaume s'il sage saint sang savez sentiments serait servir seul siècle sieur terre Testament tragédie trompe trouve vérité Voilà Voltaire voulait vrai
Beliebte Passagen
Seite 502 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Seite 67 - J'ai craint qu'il ne fût vrai ; je suis vite accouru. Ce maudit songe en est la cause. 8ui d'eux aimoit le mieux? Que t'en semble , lecteur' ette difficulté vaut bien qu'on la propose. Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même : Un songe , un rien , tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Seite 66 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Seite 97 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; Il doit régner partout, et même dans la fable De toute fiction l'adroite fausseté Ne tend qu'à faire aux yeux briller la vérité.
Seite 75 - Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port, Sont des champs de carnage où triomphe la mort.
Seite 544 - Comme le Fils de l'homme n'est, pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie, pour la rédemption de plusieurs.
Seite 90 - C'est ainsi que la terre avec plaisir rassemble Ces chênes, ces sapins, qui s'élèvent ensemble : Un suc toujours égal est préparé pour eux ; Leur pied touche aux enfers, leur cime est dans les cieux1 ; Leur tronc inébranlable, et leur pompeuse tête, Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête...
Seite 125 - Rome demande un maître ; Un jour à tes dépens tu l'apprendras peut-être. Tu vois nos citoyens plus puissants que des rois : Nos mœurs changent, Brutus ; il faut changer nos lois. La liberté n'est plus que le droit de se nuire : Rome, qui détruit tout, semble enfin se détruire. Ce colosse effrayant, dont le monde est foulé, En pressant l'univers, est lui-même ébranlé. Il penche vers sa chute, et contre la tempête II demande mon bras pour soutenir sa tête.
Seite 136 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour...
Seite 107 - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!