Oeuvres complètes de Voltaire: MélangesHachette, 1860 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 100
Seite 11
... avons vu Pierre le Grand épouser une personne bien inférieure à ces deux dames ; et cette épouse de Pierre le Grand devenir impératrice , et mériter de l'être . Le mérite fait dispa- raitre bien des disproportions , et rapproche bien ...
... avons vu Pierre le Grand épouser une personne bien inférieure à ces deux dames ; et cette épouse de Pierre le Grand devenir impératrice , et mériter de l'être . Le mérite fait dispa- raitre bien des disproportions , et rapproche bien ...
Seite 14
... avons tant approfondi notre nature , nos malheurs , et nos faiblesses , nous faisons sans cesse retentir nos temples de re- proches et de condamnations ; nous anathématisons les plus légères ir- régularités de la conduite , les plus ...
... avons tant approfondi notre nature , nos malheurs , et nos faiblesses , nous faisons sans cesse retentir nos temples de re- proches et de condamnations ; nous anathématisons les plus légères ir- régularités de la conduite , les plus ...
Seite 29
... avons vu un temps où ces feux , ces illuminations , ces monu- ments passagers de la gloire , devenus un spectacle commun , n'atti- raient plus l'empressement de la multitude rassasiée de succès . Quelle est la situation enfin où nous ...
... avons vu un temps où ces feux , ces illuminations , ces monu- ments passagers de la gloire , devenus un spectacle commun , n'atti- raient plus l'empressement de la multitude rassasiée de succès . Quelle est la situation enfin où nous ...
Seite 30
... avons payé avec zèle tous les impôts , quelque grands qu'ils fussent , parce que nous avons senti qu'ils étaient nécessaires , et éta- blis avec une sage proportion . Aussi ( ce qui peut - être n'était jamais ar- rivé depuis plusieurs ...
... avons payé avec zèle tous les impôts , quelque grands qu'ils fussent , parce que nous avons senti qu'ils étaient nécessaires , et éta- blis avec une sage proportion . Aussi ( ce qui peut - être n'était jamais ar- rivé depuis plusieurs ...
Seite 33
... avons renversé ceux de nos ennemis aux extrémités de l'Orient . Nous étions partout à craindre , et tout tombait devant nous en Flandre . Dans ces circonstances heureuses , on vole de la victoire de Laufelt aux bastions de Berg - op ...
... avons renversé ceux de nos ennemis aux extrémités de l'Orient . Nous étions partout à craindre , et tout tombait devant nous en Flandre . Dans ces circonstances heureuses , on vole de la victoire de Laufelt aux bastions de Berg - op ...
Inhalt
1 | |
13 | |
22 | |
45 | |
65 | |
140 | |
141 | |
162 | |
292 | |
304 | |
350 | |
356 | |
374 | |
390 | |
396 | |
424 | |
165 | |
166 | |
177 | |
181 | |
186 | |
206 | |
214 | |
219 | |
222 | |
243 | |
256 | |
263 | |
272 | |
291 | |
426 | |
439 | |
443 | |
444 | |
458 | |
493 | |
497 | |
501 | |
512 | |
520 | |
544 | |
557 | |
559 | |
573 | |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Akakia âme assez aurait auteur avaient avez beau c'était Calas cardinal de Fleury cardinal de Richelieu cent choses chrétiens christicoles citoyens cœur condamné crime Dieu dire dit-il divines donner écrit enfants ennemis esprit êtes eût femme fille fils François Ier frère Fréron gens gloire goût gouvernement guerre Hamlet homme imprimé j'ai jamais Jean Calas Jean-Jacques jésuites Joseph Saurin jour Journal de Trévoux juges Juifs justice l'abbé l'auteur l'esprit l'Europe Lavaisse lettres livre lois Louis XIV LUCRÈCE MADAME DE MAINTENON Mahomet main maître malheureux ment mille milord ministre Mme du Châtelet monde monsieur mort n'avait n'en n'était nation ouvrage parler passé penser père personne peuple philosophe pièces plaisir poëte POSIDONIUS premier prétendu prêtres prince Prusse public qu'un raison religion ridicule rien rois royaume s'il sage saint sang savez sentiments serait servir seul siècle sieur terre Testament tragédie trompe trouve vérité Voilà Voltaire voulait vrai
Beliebte Passagen
Seite 502 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Seite 67 - J'ai craint qu'il ne fût vrai ; je suis vite accouru. Ce maudit songe en est la cause. 8ui d'eux aimoit le mieux? Que t'en semble , lecteur' ette difficulté vaut bien qu'on la propose. Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même : Un songe , un rien , tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Seite 66 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Seite 97 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; Il doit régner partout, et même dans la fable De toute fiction l'adroite fausseté Ne tend qu'à faire aux yeux briller la vérité.
Seite 75 - Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port, Sont des champs de carnage où triomphe la mort.
Seite 544 - Comme le Fils de l'homme n'est, pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie, pour la rédemption de plusieurs.
Seite 90 - C'est ainsi que la terre avec plaisir rassemble Ces chênes, ces sapins, qui s'élèvent ensemble : Un suc toujours égal est préparé pour eux ; Leur pied touche aux enfers, leur cime est dans les cieux1 ; Leur tronc inébranlable, et leur pompeuse tête, Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête...
Seite 125 - Rome demande un maître ; Un jour à tes dépens tu l'apprendras peut-être. Tu vois nos citoyens plus puissants que des rois : Nos mœurs changent, Brutus ; il faut changer nos lois. La liberté n'est plus que le droit de se nuire : Rome, qui détruit tout, semble enfin se détruire. Ce colosse effrayant, dont le monde est foulé, En pressant l'univers, est lui-même ébranlé. Il penche vers sa chute, et contre la tempête II demande mon bras pour soutenir sa tête.
Seite 136 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour...
Seite 107 - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!