Revue de Paris, Band 1;Band 6Bureau de la Revue de Paris., 1829 |
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Seite 131 - Térence est dans mes mains, je m'instruis dans Horace, Homère et son Rival sont mes Dieux du Parnasse ; Je le dis aux Rochers : on veut d'autres discours, Ne pas louer son siècle, est parler à des sourds. Je le loue, et je sais qu'il n'est pas sans mérite : Mais près de ces grands noms notre gloire est petite : Tel de nous, dépourvu de leur solidité, N'a qu'un peu d'agrément sans nul fonds de beauté.
Seite 239 - Il parsèmera son récit de petites circonstances si liées à la chose, de traits si simples, si naturels, et toutefois si difficiles à imaginer, que vous serez forcé de vous dire en vousmême : Ma foi, cela est vrai : on n'invente pas ces choses-là.
Seite 131 - Je chéris l'Arioste et j'estime le Tasse; Plein de Machiavel, entêté de Boccace, J'en parle si souvent qu'on en est étourdi; J'en lis qui sont du Nord, et qui sont du Midi.
Seite 129 - Si faut-il qu'à la fin de tels pensers nous quittent; Je ne vois plus d'instants qui ne m'en sollicitent. Je recule, et peut-être attendrai-je trop tard : Car, qui sait les moments prescrits à son départ? Quels qu'ils soient, ils sont courts ; à quoi les emploierai-je ? Si j'étais sage, Iris (mais c'est un privilège Que la nature accorde à bien peu d'entre nous).
Seite 31 - Je ne connais que deux partis , celui des bons « et celui des mauvais citoyens... Le cœur flétri « par l'expérience de tant de trahisons , je crois « à la nécessité d'appeler la probité et tous les « sentiments généreux au secours de la répu
Seite 129 - J'ai toujours abusé du plus cher de nos biens. Les pensers amusants, les vagues entretiens, Vains enfants du loisir, délices chimériques; Les romans et le jeu, peste des républiques, Par qui sont dévoyés les esprits les plus droits, Ridicule fureur qui se moque des lois; Cent autres passions, des sages condamnées, Ont pris comme à l'envi la...
Seite 130 - N'en attends-je autre fruit que de les voir prisés? C'est peu que leurs conseils, si je ne sais les suivre, Et qu'au moins vers ma fin je ne commence à vivre, Car je n'ai pas vécu; j'ai servi deux tyrans : Un vain bruit et l'amour ont partagé mes ans. Qu'est-ce que vivre, Iris? vous pouvez nous l'apprendre, Votre réponse est prête; il me semble l'entendre : C'est jouir des vrais biens avec tranquillité; Faire usage du temps et de l'oisiveté; S'acquitter des honneurs dus à l'Être suprême...
Seite 127 - ... l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments. Hélas ! Quand reviendront de semblables moments ! Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète ! Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer ! Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ? Ai-je passé le temps d'aimer?
Seite 42 - J'instruis les sourds et muets de naissance, et, «comme le nombre de ces infortunés est plus grand chez les « pauvres que chez les riches, je suis plus à vous qu'aux riches.
Seite 28 - C'était partout un sentiment d'ordre , qui faisait sentir a tout le monde le besoin de la sécurité , et sans doute celui d'un pouvoir modéré , qui maintient la société avec sagesse dans des bornes légales. Il n'y...