Mercure françias1752 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainſi ajoûter amour aſſez auffi auſſi avoient avoit baſſe beſoin c'eſt Caroſſe cauſe chant chés Chevalier choſe Clerville cœur compaſſion compoſition Comte Conſeil Dauphin derniere deſſein deſſus donner enfans enſuite eſprit eſt étoient étoit fans fiécles foit font goût graces hommes j'ai jour Juliette juſqu'à juſqu'au juſte l'amour l'Auteur l'Egliſe l'eſprit l'uſage livres Logogriphes lorſque lumiere Madame Madame Henriette Majesté maniere Marquiſe Médaillon Ménès ment Mercure Michel-Ange Mœurs Mondonville Monfieur Monſeigneur Montpezat Moreton Motet Muſique n'eſt obſervations Ouvrage paroît perſonnes plaifir plaiſirs pluſieurs poudre premiere préſente preſque Prince Princeſſe principe inné raiſon reſte Romeo roues de rencontre s'eſt ſage Saint Saint-Auban Saint-Val ſans ſçais ſçait ſçavoir ſe trouve ſecond ſecours ſein ſemble ſens ſentimens ſept ſera ſeroit ſervice ſervir ſes ſeul ſeule ſeulement ſieur ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſuccès ſuis ſuite ſuivant ſuivi ſujet ſur tems tendreſſe tion uſage
Fréquemment cités
Page 187 - Est de ne rien tenir des grandeurs de mes pères. Mon nom commence en moi : de votre honneur jaloux. Tremblez que votre nom ne finisse dans vous.
Page 174 - La pièce y fut applaudie autant que le demandoient la bienséance , et la grande réputation que l'auteur avoit déjà. Mais, quelques jours après, Voiture vint trouver Corneille...
Page 60 - Une maligne deftinée Sauve nos cœurs de votre loi : Vous naquîtes trop tard pour moi , Pour lui vous êtes trop tôt née. Ni moi ni ce jeune écolier, Ne faurions comment nous y prendre ; A peine il commence d'apprendre Et je commence d'oublier.
Page 61 - Si notre âge approchoit du vôtre , Nous ferions rivaux l'un de l'autre , Et vous auriez peine à choifir.
Page 76 - ... les obscurcir. Ils n'ont rien fait ni pour leur réputation, ni contre la mienne ; ils n'ont rien ajouté ni retranché à mes découvertes, et l'art n'a retiré aucun fruit du mal qu'ils ont voulu me faire. Que c'est peu...
Page 189 - ... suis tout aussi glorieux que M. Hasse peut l'être lui-même du titre de Saxon par excellence que les Italiens lui ont donné, et qu'à leur imitation M. de Voltaire a conféré, en France, au héros du siècle. Si j'avais cru pouvoir placer cet artiste célèbre à côté de Pergolèse (i), j'aurais été trop jaloux de la gloire de ma patrie pour y manquer.
Page 68 - Nous pensons ainsi, parce que nous sçavons que ce Prince n'a jamais commencé aucune guerre dans la vue de conquérir. Il n'a pris les armes que pour se défendre; & depuis ce moment jusqu'à celui de sa...
Page 134 - ... à chaque objet. Il auroit été à fouhaiter que le Brun , en revenant de Rome , eût vu l'Ecole Vénitienne , ou la Flamande : mais enfin , quoique fon coloris n'ait ni la vérité ni le brillant de celui des grands Peintres de ces Ecoles , on ne doit pas croire que dans les tableaux , où il a voulu montrer la connoitTmce qu'il en avoit , il n'y ait de très-belles chofes.
Page 59 - Ce que l'on souffre sous tes lois. TIMARETTE. Non , Hilas , je ne veux ni la voir ni l'entendre , Et tu peux la garder pour toi. Quand on craint de devenir tendre , Il ne faut point avoir de tels oiseaux chez soi. On admira beaucoup cette pastorale du bailli ; on lui fit même répéter les quatre derniers vers , et on trouva on ne peut plus galant ce berger qui va à la chasse aux tourterelles. D'ailleurs l'allégorie était diaphane et chaste à la fois , ce...
Page 124 - Chevalier de l'Ordre Royal & Militaire de S. Louis , Capitaine au Régiment des Gardes Suiflcs , & Brigadier des Armées du Roi. A Paris t chez ty rue Dauphinc, & Hochcrcait l'aîné , quai de Conci, Tout le monde fe fouvienr encore de» ebfervations fur l'Efprit des Loix , Par M.