Considérations sur le mariage, au point de vue des loisPalmé, 1877 - 496 Seiten |
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... suite plus » forts ; mais c'est une tyrannie , et le droit de » l'insurrection me reste , à moi et à d'autres , » dont chacun individuellement vaut chacun de » nos législateurs . Que dis - je ? l'insurrection » peut être sainte ...
... suite plus » forts ; mais c'est une tyrannie , et le droit de » l'insurrection me reste , à moi et à d'autres , » dont chacun individuellement vaut chacun de » nos législateurs . Que dis - je ? l'insurrection » peut être sainte ...
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... suite de la puissance des Princes sur la police temporelle , » qu'en d'autres matières , qui de leur nature » ont rapport au spirituel , les Rois ont établi » des règles sur ce qu'il y a dans ces matières » qui se rapporte au temporel ...
... suite de la puissance des Princes sur la police temporelle , » qu'en d'autres matières , qui de leur nature » ont rapport au spirituel , les Rois ont établi » des règles sur ce qu'il y a dans ces matières » qui se rapporte au temporel ...
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... suite de ce qui pourra être dit ici sur le mariage , et il n'en peut pas être autrement . L'institution divine du mariage ayant suivi presque immédiatement la création de la femme , elle est de fait une institution de droit naturel ...
... suite de ce qui pourra être dit ici sur le mariage , et il n'en peut pas être autrement . L'institution divine du mariage ayant suivi presque immédiatement la création de la femme , elle est de fait une institution de droit naturel ...
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... suite avec cette simplicité péné- » trante qui lui est naturelle : Ces choses s'ap- » prennent aisément et parfaitement SI QUEL- » QU'UN NOUS LES ENSEIGNE . Voilà le mot . - Il » est de plus évident pour la simple raison que > les ...
... suite avec cette simplicité péné- » trante qui lui est naturelle : Ces choses s'ap- » prennent aisément et parfaitement SI QUEL- » QU'UN NOUS LES ENSEIGNE . Voilà le mot . - Il » est de plus évident pour la simple raison que > les ...
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... suite , détruit la famille . On trouve chez toutes ces nations un sacerdoce tout - puissant , qui garde des traditions d'une origine inconnue , mais toujours attribuées à la révélation d'un Dieu ou d'un prophète . Les prê- tres forment ...
... suite , détruit la famille . On trouve chez toutes ces nations un sacerdoce tout - puissant , qui garde des traditions d'une origine inconnue , mais toujours attribuées à la révélation d'un Dieu ou d'un prophète . Les prê- tres forment ...
Häufige Begriffe und Wortgruppen
âme Aristote avaient Bossuet c'est-à-dire catholique cause César chose chrétiens Christ cité citoyen civilisation Clotaire Ier Code civil concile concile de Trente conscience consentement conséquences contrat civil contrat naturel contrats consensuels culte décadence Dieu dire dirimants divine divorce doctrine Domat effets civils enfants époux Ésaü état Étrusques évêque extérieur famille femme fidèles forme fût gouvernement Grecs hommes humaine indissoluble institution j'ai jamais Jésus-Christ Juifs l'Église l'État l'histoire l'homme l'indissolubilité légale législateurs légitime liberté loi civile loi naturelle lois luble mariage civil ment monde morale mort civile nation nature non-seulement pacte païens parler paroles passé peuple Pie IX politique polygamie Portalis Pothier pouvoir premier prêtres princes principe Prop propre protestant qu'un quæst question race raison réforme religieux religion répudiation reste révolte riage rien rois romain sacrement saint Thomas science sécularisation serait seule social société solubilité spirituel Syllabus temporel tiers état tion trat tribunat tyrannie union vérité veut volonté voulait vrai
Beliebte Passagen
Seite 413 - Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.
Seite 305 - Châlons , de Laon , de Poitiers ; on refusa au Pape le droit de diriger la conscience du roi, de lui faire des remontrances sur l'administration de son royaume , et de le punir par les censures ou l'excommunication lorsqu'il violait ses serments.
Seite 282 - Vitemberg pour la réformation du mariage, il ne rougit pas de prononcer ces infâmes et scandaleuses paroles : « Si » elles sont opiniâtres ( il parle des femmes ) , il est à propos que leurs » maris leur disent : Si vous ne voulez pas, une autre le voudra : Si » la maîtresse ne veut pas venir , que la servante approche.
Seite 27 - Qu'est-ce donc que le mariage en lui-même, et indépendamment de toutes les lois civiles et religieuses ? c'est la société de l'homme et de la femme, qui s'unissent pour perpétuer leur espèce , pour s'aider , par des secours mutuels , à porter le poids de la vie , et pour partager leur commune destinée, II était impossible d'abandonner ce contrat à la licence des passions.
Seite 38 - Mais l'ordre social est un droit sacré qui sert de base à tous les autres. Cependant ce droit ne vient point de la nature ; il est donc fondé sur des conventions.
Seite 414 - ... de la loi du péché qui est dans mes membres. Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort...
Seite 305 - l'Église, on refusa au Pape le droit de prendre » connaissance des taxes arbitraires, que le roi » levait sur son clergé, de Y emprisonnement ar...
Seite 434 - Non contents de bannir la religion de la société, ils veulent l'exclure de la famille. Enseignant et professant la funeste erreur du communisme et du socialisme, ils affirment que « la société domestique ou la famille emprunte toute sa raison d'être du droit purement civil, et, en conséquence, que de la loi civile découlent et dépendent tous les droits des parents sur les enfants, surtout le droit d'instruction et d'éducation...
Seite 10 - L'engagement que fait le mariage entre le mari et la femme, dit ce célèbre jurisconsulte (1), et celui que fait la naissance entre eux et leurs enfants, forment une société particulière dans chaque famille, où Dieu lie ces personnes plus étroitement pour les engager à un usage continuel des divers devoirs de l'amour mutuel. C'est dans ce dessein qu'il n'a pas créé tous les hommes comme le premier ; mais qu'il a voulu les faire naître de l'union qu'il a formée entre les deux sexes dans...
Seite 409 - ... et vous ne voulez pas que je le console! Eh! combien d'hommes ne sont coupables qu'à cause de leur faiblesse pour leurs femmes! Qu'il soit donc permis à celles qui ont causé leurs malheurs, de les adoucir en les partageant. Si une femme satisfait à ce devoir, vous estimez sa vertu, et cependant vous ne mettez aucune différence entre elle et l'être infâme qui se prostitue, etc., etc.