L'ANCIEENE ROME |
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... C'était une nature éminemment sensible que celle d'Ovide ; toute sa vie fut dominée par l'amour et la poésie , l'un ne va pas sans l'autre . En revanche , il méprisa les fausses jouissances de l'ambition , il refusa les hauts emplois et ...
... C'était une nature éminemment sensible que celle d'Ovide ; toute sa vie fut dominée par l'amour et la poésie , l'un ne va pas sans l'autre . En revanche , il méprisa les fausses jouissances de l'ambition , il refusa les hauts emplois et ...
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... C'était assez pour aller réfléchir sur l'art d'aimer , à de grandes distances ... Dans ses Métamorphoses , on trouve une série de fictions charmantes , d'allusions gracieuses , d'allégories délicates , sous lesquelles se cachent le plus ...
... C'était assez pour aller réfléchir sur l'art d'aimer , à de grandes distances ... Dans ses Métamorphoses , on trouve une série de fictions charmantes , d'allusions gracieuses , d'allégories délicates , sous lesquelles se cachent le plus ...
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... C'était le so- leil dont le premier rayon portait la vie à la terre . Ovide nous avait déjà fait la même descrip- tion . Il avait même été plus loin , il avait com- pris que la chaleur solaire avait dû dissiper des exhalaisons ...
... C'était le so- leil dont le premier rayon portait la vie à la terre . Ovide nous avait déjà fait la même descrip- tion . Il avait même été plus loin , il avait com- pris que la chaleur solaire avait dû dissiper des exhalaisons ...
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... avaient pour les boissons fermentées une attraction considérable . Il est vrai que si les 1. Daremberg , Histoire des Sciences médicales . Paris , repas commençaient et finissaient par des liba- tions , c'était 1870 . OVIDE 15.
... avaient pour les boissons fermentées une attraction considérable . Il est vrai que si les 1. Daremberg , Histoire des Sciences médicales . Paris , repas commençaient et finissaient par des liba- tions , c'était 1870 . OVIDE 15.
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... c'était pour attester qu'on regardait les dieux comme le principe et la fin de tous les biens et de toutes les jouissances de la vie . Mais , dans la fable des Matelots changés en dauphins , nous voyons Bacchus , dans sa colère contre ...
... c'était pour attester qu'on regardait les dieux comme le principe et la fin de tous les biens et de toutes les jouissances de la vie . Mais , dans la fable des Matelots changés en dauphins , nous voyons Bacchus , dans sa colère contre ...
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Alcmène amant amour Amphitryon atque bains Catulle celui-ci Charinus charmes cher cheveux chose Chrémès cœur comédie corpore corps coup courtisane d'après Daremberg débauche Démiphon dents diathèse dieu dieux dire dit-il donner douleur enfants épigramme esclave Esculape Falerne febris femme fièvre fils Galien garum grec hæc herbes Horace j'ai jamais jeune fille jeune homme jour Jupiter Juvénal l'amour l'esclave laisser latin Lesbie lèvres Lucain Lucilius Lucrèce Lysimaque main maison maîtresse maladie mari Martial médecin médicales membres Ménechme Ménière ment mihi morbus mort Nævia nuit nunc omnia opus organes Ovide Pamphile PARASITE parfums Parménon passer pathologique peau pédérastie pendant père PÉRIPLECTOMÈNE Perse Phédria philosophie Philumène Phlogis Phronésie Plaute Pline podagre poète Priape Properce PYRGOPOLINICE quæ quam Quid quod quum rien Rome Rosenbaum sang satire SCAPHA scène Sénèque sent seulement STRATOPHANE syphilis Térence tête tibi Tibulle tion trouve ulcères veines Vénus vieillard Virgile voici Voilà yeux
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Seite 49 - Fortune, dont la main couronne Les forfaits les plus inouïs, Du faux éclat qui t'environne Serons-nous toujours éblouis ? Jusques à quand, trompeuse idole, D'un culte honteux et frivole Honorerons-nous tes autels ? Verra-t-on toujours tes caprices...
Seite 356 - Étend du vieux lion la dépouille héroïque, Et l'œil au ciel, la main sur la massue antique, Attend sa récompense et l'heure d'être un dieu. Le vent souffle et mugit. Le bûcher tout en feu Brille autour du héros, et la flamme rapide Porte aux palais divins l'âme du grand Alcide I II.
Seite 141 - Le dieu de l'air( 56 ) descend dans son sein amoureux, Lui verse ses trésors, lui darde tous ses feux, Remplit ce vaste corps de son ame puissante; Le monde se ranime, et la nature enfante.
Seite 68 - Ce vieillard qui d'un vol agile Fuit sans jamais être arrêté, Le Temps, cette image mobile De l'immobile éternité , A peine du sein des ténèbres Fait éclore les faits célèbres , Qu'il les replonge dans la nuit : Auteur de tout ce qui doit être , II détruit tout ce qu'il fait naître A mesure qu'il le produit.
Seite 113 - II a , sans rien savoir , la science en partage ; II a l'esprit , le cœur , le mérite , le rang , La vertu , la valeur, la dignité , le sang ; II est aimé des grands , il est chéri des belles : Jamais surintendant ne trouva de cruelles.
Seite 29 - Rixae, sive puer furens Impressit memorem dente labris notam. Non, si me satis audias, Speres perpetuum, dulcia barbare Laedentem oscula, quae Venus 15 Quinta parte sui nectaris imbuit. Felices ter et amplius, Quos irrupta tenet copula...
Seite 80 - Une douzaine de morceaux d'un goût exquis , pleins de grâce et de naturel, l'ont mis au rang des poëtes les plus aimables. Ce sont de petits chefs-d'œuvre où il n'ya pas un mot qui ne soit précieux , mais qu'il est aussi impossible d'analyser que de traduire. On définit d'autant moins la grâce, qu'on la sent mieux. Celui qui pourra expliquer le charme des regards , du sourire, de la démarche d'une femme aimable, celui-là pourra expliquer le charme des vers de Catulle.
Seite 145 - Lorsque Vénus, sortant du sein des mers, Sourit aux dieux charmés de sa présence , Un nouveau jour éclaira l'univers : Dans ce moment la rosé prit naissance. D'un jeune lis elle avait la blancheur ; Mais aussitôt le père de la treille De ce nectar dont il fut l'inventeur Laissa tomber une goutte vermeille , Et pour toujours il changea sa couleur. De Cythérée elle...
Seite 113 - Quiconque est riche est tout : sans sagesse il est sage II a, sans rien savoir, la science en partage ; II a l'esprit, le cœur, le mérite, le rang, La vertu, la valeur, la dignité, le sang ; II est aimé des grands, il est chéri des belles : Jamais surintendant ne trouva de cruelles.
Seite 340 - Combien que par cy devant ait été publié, crié, et ordonné à son de trompe et cry public par les carrefours de Paris, à ce que aucun n'en...