ENTRETIENS DE CICERON SUR LA NATURE DES DIEUX, Traduits par M. l'abbé D'OLIVET, Olu Noi SIRE, Candis que VOTRE MAJESTÉ permet aux Muses de lui enlevev ses plus doux momens, tout ce qu'il y a de gens de lettres en France lui doivent des tributs utiles à ses études. Le premier que j'apporte au pied de son trône, est la copie d'un fameux original. Ces hommes illustres qui président à votre éducation, SIRE, et qui sont eux-mêmes plus à étudiev |