Défense du christianisme, Volume 2A. Le Clère et cie, 1825 |
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Défense du Christianisme, ou, Conférences sur la religion, Volume 2 Denis Frayssinous Affichage du livre entier - 1840 |
Défense du christianisme, ou, Conférences sur la religion, Volume 2 Denis Frayssinous Affichage du livre entier - 1851 |
Défense du christianisme, ou, Conférences sur la religion Denis Frayssinous Affichage du livre entier - 1825 |
Expressions et termes fréquents
adore apôtres auroient auroit auteur avoient avoit barbarie bles Bossuet chap choses chré chrétiens Christ christianisme ciples Clément d'Alexandrie cœur connoissance connoître croyance culte déluge dès-lors dessein devoit Dieu dieux Dioclétien dire disciples discours divine dix-huit siècles doctrine écrivains enfans ennemis Esdras esprit étoient étoit évan évangéliques Evangiles évènemens foible foiblesse genre humain gentils gloire Grèce Hébreux historien hommes incrédules Jésus Jésus-Christ Judée Juifs jusqu'à l'antiquité l'Eglise l'empire l'Énéide l'Evangile l'histoire l'homme l'idolâtrie l'incrédule l'univers Lactance législateur livres saints lois lumière martyrs ment merveilles Messie Messieurs miracles mœurs Moïse monde monumens mort multitude mystère n'étoient n'étoit nation juive nature nisme oracles Origène paganisme païens paroître paroles passions pensée Pentateuque persécutions peuple juif philosophes pouvoit premiers prophéties qu'un reconnoître résurrection révéré rien romain s'il sacrés sagesse savans seroit seul sorte superstition suppose témoignage temple ténèbres terre Tertullien tion traditions tribu de Juda vérité vertus voilà
Fréquemment cités
Page 286 - Fleury (i), dont je -vais répéter les propres expressions, « alloient bien » jusqu'à bannir la fainéantise et les mendiaiis •a valides ; mais on ne voit point chez eux d'ordre » public pour prendre soin des misérables qui ne » pouvoient rendre aucun service.» Voyez, au contraire , comme , de tous les genres de besoin et d'infortune, il n'en est pas un seul qui ait échappé à la tendre sollicitude de l'Eglise chrétienne. L'histoire nous apprend combien cet esprit de cha'rité l'armna...
Page 356 - Si on ne découvre pas ici un dessein toujours soutenu et toujours suivi; si on n'y voit pas un même ordre des conseils de Dieu, qui prépare dès l'origine du monde ce qu'il achève à la fin des temps, et qui, sous divers états, mais avec une succession toujours constante, perpétue aux yeux de tout l'univers la sainte société où il veut être servi ; on mérite de ne rien voir, et d'être livré à son propre endurcissement, comme au plus juste et au plus rigoureux de tous les supplices.
Page 282 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 99 - C'est par où commence Moïse , le plus ancien des historiens, le plus sublime des philosophes , et le plus sage des législateurs.
Page 144 - Au fond, c'est reculer la difficulté sans la détruire; il serait plus inconcevable que plusieurs hommes d'accord eussent fabriqué ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en ait fourni le sujet. Jamais des auteurs juifs n'eussent trouvé ni ce ton ni cette morale; et l'Évangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l'inventeur en serait plus étonnant que le héros.
Page 81 - Il déclare que , de cette foule de morts qui dorment dans la poussière de la terre, les uns se réveilleront pour une vie éternelle, et les autres pour un éternel opprobre.
Page 346 - C'est une suite d'hommes, durant quatre mille ans, qui, constamment et sans variation, viennent, l'un ensuite de l'autre, prédire ce même avènement. C'est un peuple tout entier qui l'annonce, et qui subsiste depuis quatre mille années...
Page 327 - Seigneur, et à la maison. du Dieu de Jacob. Il nous enseignera ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers, parcequela loi sortira de Sion et la parole du Seigneur de Jérusalem.
Page 76 - Considérez que je suis le Dieu unique, qu'il n'y en a point d'autre que moi seul : c'est moi qui fais mourir, et c'est moi qui fais vivre ; c'est moi qui blesse, et c'est moi qui guéris...
Page 205 - Rome ne nous permette pas de supposer que, de tous les sujets de l'empire, il s'en soit enrôlé plus de la vingtième partie sous la bannière de la croix avant la conversion importante de Constantin...