XXXI. 1538. A LA CHAPELLE. J'ESTRENE de nom de belle Voyre quelque brun qu'elle ait : XXXIV. 1538. A LURSINGE. JE puisse devenir singe, N'a la sorte (et n'en mens point) XXXV. 1538. A LUCRESSE. CEST an vous face maistresse Sans destresse D'amy aussi gracieux, XXXVI. 1538. A BYE. Voz graces en faict et dict Ont credict De plaire, Dieu sçait combien : Ceulx qui s'y congnoissent bien Le m'ont dict. XXXVII. 1538. A LA BAULME. I BIEN doibt la Baulme advouer L'an, lequel luy appareille, 1 Je n'ose assurer que ce soit une des filles de Philibert de la Baulme, premier du nom. 2 L. Dufresnoy pense que Marot veut parler d'un petit traité intitulé le Doctrinal des princesses et nobles dames, dans lequel Jean Marot, son père, a renfermé en vingt-quatre rondeaux une morale très-sage sur la conduite des dames. « Je ne crois pas, ajoute-t-il, » qu'il veuille ici parler d'un autre livret plus ancien, le Doctrinal » des nouvelles mariées. Cette pièce est trop gaillarde pour la faire » connaître à une jeune demoiselle. Peut-être aussi parle-t-il du » Doctrinal à l'instruction des filles, fait à la requête de madame » Suzanne de Bourbon, imprimé à Toulouse, en 1535. » Petite veue ont tous deux, Les cueurs emble. XLII. 1538. A LA TOUR. 1 POUR estrenes de la Tour Nuptial la coifferoit, Je pense qu'on luy feroit, XLIII. 1538. A ORSONVILLIER. SI Dieu qui vous composa, N'y posa Beauté en tout compassee, Bien vous a. 'Je pense que c'est Antoinette, fille de François de la Tour, second du nom, vicomte de Turenne. Elle fut mariée, en 1545, à Louis Leroy, seigneur de Chavigny. |