| Emmanuel-Auguste-Dieudonné comte de Las Cases - 1823 - 528 Seiten
...pour vos amis. » Le Premier-Consul répondit : « J'ai reçu la « lettre de "V^atre Altesse Royale ; j'ai toujours « pris un vif intérêt à ses malheurs...ceux « de sa famille. Elle ne doit pas songer à se pré« senter en France ; elle n'y parviendrait que « sur cent mille cadavres. Du reste je m'em«... | |
| Jacques-Antoine Dulaure - 1825 - 970 Seiten
...pour vos amis '. » Le premier consul répondit : J'ai reçu la lettre » de votre altesse royale; j'ai toujours pris un vif » intérêt à ses malheurs et à ceux de sa famille. » Elle ne doit pas^onger à se présenter en France; M elle n'y parviendrait que sur cent mille cada» vres. Du reste... | |
| Emmanuel Auguste Dieudonné Marius Joseph de Las Cases - 1823 - 430 Seiten
...pour ' > vos amis. » Le Premier Consul re'pondit : « J'ai reçu la > lettre de Votre Altesse Royale; j'ai toujours ) pris un vif intérêt à ses malheurs et à ceux de i sa famille. Elle ne doit pas songer à se pré'o senter en France ; elle n'y parviendrait que »... | |
| Emmanuel-Auguste-Dieudonné comte de Las Cases - 1824 - 500 Seiten
...pour vos amis. » Le Premier Consul répondit : « J'ai reçu la » lettre de Votre Altesse Royale ; j'ai toujours » pris un vif intérêt à ses malheurs...parviendrait que » sur cent mille cadavres. Du reste je m'em» presserai toujours à faire !<>ut ce qui pourrait » adoucir ses destinées et lui faire oublier... | |
| Emmanuel-Auguste-Dieudonné comte de Las Cases - 1824 - 498 Seiten
...pour vos amis. » Le Premier Consul répondit : « J'ai reçu la » lettre de Votre Altesse Royale; j'ai toujours » pris un vif intérêt à ses malheurs et à ceux T de sa famille. Elle ne doit pas songer à se » présenter en France ; elle n'y parviendrait que... | |
| 1826 - 402 Seiten
...aucun mécontentement. Elle était ainsi conçue : « J'ai reçu » la lettre de votre Altesse royale ; j'ai toujours » pris un vif intérêt à ses malheurs...ceux » de sa famille. Elle ne doit pas songer à se pré» senter en France, elle n'y parviendrait que » sur cent mille .cadavres; du reste, je m'em»... | |
| Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne - 1829 - 448 Seiten
...pour « vos amis. » Napoléon dit avoir répondu : « J'ai reçu la lettre de votre altesse royale. J'ai « toujours pris un vif intérêt à ses malheurs...parviendrait que « sur cent mille cadavres. Du reste, je m'empres« serai toujours de faire tout ce qui pourrait K adoucir ses destinées et lui faire oublier... | |
| Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne - 1829 - 446 Seiten
...pour « vos amis. » Napoléon dit avoir répondu : « J'ai reçu la lettre de votre altesse royale. J'ai « toujours pris un vif intérêt à ses malheurs...parviendrait que « sur cent mille cadavres. Du reste , je m'empres« serai toujours de faire tout ce qui pourrait « adoucir ses destinées et lui faire oublier... | |
| Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne - 1829 - 500 Seiten
...France; elle n'y parviendrait que « sur cent mille cadavres. Du reste, je m'empres« serai toujours de faire tout ce qui pourrait « adoucir ses destinées et lui faire oublier ses « malheurs. » Le sens de ces deux lettres est exact ; on y retrouve à peu près les mêmes idées que dans les... | |
| L. A. J. Mordacque - 1901 - 788 Seiten
...places qui vous plairont pour vos amis." Le Premier Consul répondit : " J'ai reçu la lettre de VAR ; j'ai toujours pris un vif intérêt à ses malheurs...mille cadavres. Du reste, je m'empresserai toujours de faire tout ce qui pourrait adoucir ses destinées, et lui faire oublier ses malheurs." L'ouverture... | |
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