Histoire de Napoléon, Band 1 |
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Seite 294 - L'Empire des Turcs s'écroule tous les jours ; la possession de ces îles nous mettra à même de le soutenir autant que cela sera possible , ou d'en prendre notre part. Les temps ne sont pas éloignés où nous sentirons que , pour détruire véritablement l'Angleterre , il faut nous emparer de l'Egypte.
Seite 351 - Soldats, matelots, vous avez été jusqu'ici négligés; aujourd'hui la plus grande sollicitude de la république est pour vous: vous serez dignes de l'armée dont vous faites partie. «Le génie de la liberté qui a rendu, dès sa naissance, la république l'arbitre de l'Europe, veut qu'elle le soit des mers et des nations les plus lointaines.
Seite 90 - Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Seite 351 - Patrie n'a point encore assez fait pour vous. Je vais actuellement vous mener dans un pays où par vos exploits futurs vous surpasserez ceux qui étonnent aujourd'hui vos admirateurs, et rendrez à la Patrie des services qu'elle a droit d'attendre d'une armée d'invincibles.
Seite 421 - Vos succès me seront aussi chers que ceux où je me trouverais en personne, et je regarderai comme mal employés tous les jours de ma vie où je ne ferai pas quelque chose pour l'armée dont je vous laisse le commandement, et pour consolider le magnifique établissement dont les fondements viennent d'être jetés.
Seite 211 - Le gouvernement français permet encore que j'écoute des négociations de paix ; tout pourrait s'arranger. La guerre, si cruelle pour les peuples, a des résultats terribles pour les vaincus ; évitez de grands malheurs au pape : vous savez combien je désire finir par la paix une lutte que la guerre terminerait pour moi sans gloire comme sans périls.
Seite 116 - Si vous affaiblissez vos moyens en partageant vos forces , si vous rompez en Italie l'unité de la pensée militaire , je vous le dis avec douleur, vous aurez perdu la plus belle occasion d'imposer des lois à l'Italie.
Seite 351 - Carthage tour à tour sur cette même mer, et aux plaines de Zama. La victoire ne les abandonna jamais, parce que constamment elles furent braves, patientes à supporter la fatigue, disciplinées et unies entre elles.
Seite 290 - Soldats ! le gouvernement veille sur le dépôt des lois, qui lui est confié. Les royalistes, dès l'instant qu'ils se montreront, auront vécu. Soyez sans inquiétude, et jurons par les mânes des héros qui sont morts à côté de nous pour la liberté, jurons sur nos nouveaux drapeaux : « Guerre implacable aux ennemis de la République et de la Constitution de l'an III ! » La fête fut suivie d'un grand banquet, où de nombreux toasts furent portés au milieu d'une exaltation croissante.
Seite 266 - Nous sommes à l'article de la reconnaissance. Je leur ai dit que la République Française ne voulait point être reconnue ; elle est en Europe ce qu'est le soleil sur l'horizon: tant pis pour qui ne veut pas la voir et ne veut pas en profiter.