| Pierre-Jean de Béranger - 1822 - 252 Seiten
...cet dcueil. Sa gloire est là , comme le phare immense D'un noureau monde , et d'un monde trop vieux. Pauvre soldat , je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les jeux, Bons Espagnols , que voit-on au rivage f Un drapeau noir ! ah ! grands dieux ! je fremis i Quoi... | |
| 1826 - 934 Seiten
...larmes, et d'une voix éteinte , il répète encore ce refrain, qui renferme le sujet tout entier : Pauvre soldat , je reverrai la France ; La main d'un fils me fermera les yeux... Cet art de faire ressortir , sans paraître y songer, et par la seule manière de disposer son tableau... | |
| 1826 - 916 Seiten
...larmes, et d'une voix éteinte , il répète encore ce refrain, qui renferme le sujet tout entier : Pauvre soldat , je reverrai la France ; La main d'un fils me fermera les yeux... Cet art de faire ressortir , sans paraître y songer, et par la seule manière de disposer son tableau... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1829 - 538 Seiten
...pleurent ses ennemis. Loin de ce roc nous fuyons en silence ; L'astre du jour abandonne les cieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux. KIM DU SECOND VOLCME. TADLE DES CHANSONS CONTENUES DANS CE VOLUME. Le Vilain. Page i Le Tieux Ménétrier.... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1829 - 510 Seiten
...soudaindeuxmillionsdesoldats. » Et lui, peut-être, accablé de souffrance, A la patrie adresse ses adieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera le yeux. Grand de génie et grand de caractère , Pourquoi du sceptre arma-t-il son orgueil, Bien au-dessus... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1834 - 550 Seiten
...ses bourreaux. Je ne puis rien, rien pour sa délivrance : Le temps n'est plus des trépas glorieux ! Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux. Peut-être il dort ce boulet invincible Qui fracassa vingt trônes à-la-fois. Ne peut-il pas, se relevant... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 484 Seiten
...enveloppent ses pas ! De tout laurier un poison est l'essence ' ; La mort couronne un front victorieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux. Dès qu'on signale une nef vagabonde, « Serait-ce lui? disent les potentats : «Vient-il encor redemander... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 484 Seiten
...enveloppent ses pas ! De tout laurier un poison est l'essence ' ; La mort couronne un front victorieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux. Dès qu'on signale une nef vagabonde , « Serait-ce lui? disent les potentats : «Vient-il encor redemander... | |
| Fleurs - 1834 - 264 Seiten
...pleurent ses ennemis. Loin de ce roc nous fuyons en silence ; L'astre du jour abandonne les cieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les veux. L'OMBRE D'ANACRÉON. Un jeune Grec sourit à des tombeaux : Victoire ! il dit; l'écho redit... | |
| Henri Cornille - 1836 - 460 Seiten
...un élan d'inspiration, ils entonnèrent en quittant la Grèce, le chant de l'exilé qui revient : Pauvre soldat ! je reverrai la France ; La main d'un fils me fermera les yeux. Un incident bizarre détourna notre attention : la femme d'un gendarme en garnison à Navarin était... | |
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