Les origines de la France contemporaine: ptie.] t.1. L'anarchie. 16. éd. 1888. t.2. La conquête jacobine. 14. éd. 1890. t.3. Le gouvernement révolutionnaire. 12. éd. 1892Hachette et cie, 1890 |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
10 août Archives nationales aristocrates Arles armée arrêtés assemblées avril Barbaroux bataillon brigands Brissot Buchez et Roux cents chefs citoyens club commissaires Commune constitution Convention coup Danton décembre déclare décret dénonce département députés directoire Discours district Dumouriez Dutard électeurs émigrés femmes février force garde nationale général gens Girondins gouvernement Gouverneur Morris guerre heures hommes Jacobins janvier Journiac de Saint-Méard jours juillet juin l'assemblée électorale l'Assemblée nationale l'émeute l'Hôtel Lafayette législative Lettre des administrateurs main maire maisons majorité Mallet-Dupan Malouet Marat mars Marseille massacre Mathieu Dumas Meillan membres Mémoires menaces Mercure meurtre mille ministre Mme Roland mois Moniteur Mortimer-Ternaux nation novembre octobre officiers municipaux patriotes Pétion pétition peuple piques politique populace président prêtres prison Procès-verbal procureur-syndic propriétaires public publique reste révolution révolutionnaire Robespierre sabre salle sans-culottes Santerre Schmidt séance section septembre 1792 seulement souverain tête tion tribunal tribunes Vergniaud vote XXVII
Beliebte Passagen
Seite 286 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Seite 153 - Toutes les fois que la garde nationale de Marseille s'est mise en marche au dehors de ses murs, la horde des brigands sans patrie n'a jamais manqué de se jeter à la suite, et de porter la dévastation dans tous les lieux de son passage.
Seite 123 - ... suspects de révolte contre la loi, et de mauvaises intentions contre la patrie, et, comme tels, plus particulièrement soumis et recommandés à la surveillance de toutes les autorités constituées.
Seite 6 - se jouer de la majesté nationale », c'est substituer à la volonté du peuple la volonté de douze cents personnes : « nos représentants nous ont manqué de « respect. » Ce n'est pas la première fois, et ce ne sera pas la dernière. En mainte occasion, ils ont excédé leur mandat; ils désarment, bâillonnent ou mutilent leur souverain légitime; ils font, au nom du peuple, des décrets contre le peuple.
Seite 455 - Cela n'est pas donné à un seul homme; cela n'est pas donné à moi, qui suis épuisé par quatre ans de révolution et par le spectacle déchirant du triomphe de la tyrannie, et de tout ce qu'il ya de plus vil et de plus corrompu.
Seite 19 - ... géométrie ordinaire, il est formé par la combinaison de quelques idées simples, et son évidence s'impose du premier coup à tout esprit qui pense ensemble les deux termes dont il est l'assemblage. L'homme en général, les droits de l'homme, le contrat social, la liberté, l'égalité, la raison, la nature, le peuple, les tyrans, voilà...
Seite 250 - Le peuple, qui nous envoie vers vous, nous a chargés de vous déclarer qu'il vous investissait de nouveau de sa confiance; mais il nous a chargés en même temps de vous déclarer qu'il 'ne pouvait reconnaître pour juge des mesures extraordinaires, auxquelles la nécessité et la résistance à l'oppression l'ont porté, que le peuple français, VOTRE SOUVERAIN et le nôtre,, réuni dans ses assemblées primaires 1.
Seite 267 - ... sont point ou ne sont plus en état de nuire. — En conséquence, le 10 août, on a égorgé les Suisses qui n'avaient point tiré et qui s'étaient rendus, les blessés gisant à terre, leurs chirurgiens, tous les domestiques du château, bien mieux des gens qui, comme M.
Seite 206 - Monsieur... oui, monsieur ! écoutez-nous ; vous êtes fait pour nous écouter... Vous êtes un perfide, vous nous avez toujours trompés, vous nous trompez encore; mais prenez garde à vous : la mesure est à son comble, et le peuple est las de se voir votre jouet.
Seite 57 - Il demandait et l'on accordait le renvoi à un comité où les opposants espéraient inhumer la question. Les Jacobins de Paris s'en emparaient.