La Vie et ses attributs dans leurs rapports avec la philosophie, l'histoire naturelle et la médecine ...J.B. Baillière et Fils, 1862 - 348 Seiten |
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actes action activité affinités chimiques agents atomes attributs BOUCHUT c'est-à-dire carbone cause chose combinaisons composition constitution contractilité corps inorganiques corps vivants crée cysticerque démontré développement diathèses différentes digestion doués effet éléments enfin espèces extérieures fécondation fièvre fièvre typhoïde fonctions force vitale forces physiques formation forme génération germe glandes globules Hippocrate hydropisies idiosyncrasies impressions individus influence infusoires l'action l'activité l'âme l'animal L'autocinésie l'espèce l'être vivant l'hérédité l'homme l'immunité l'impressibilité l'influence l'œuf l'organisation l'organisme l'oxygène lésion liquides lois maladies manifestations matière amorphe matière organique matière vivante médecine ment métamorphose modifiée moléculaire molécules moral morbide morphose mort mouvement muscles musculaire nature nécessaire nutrition œufs organisation périoste phénomènes physiologie physiques et chimiques plantes pneumonie polypes poumons principe produit promorphose propriétés organiques puissance qu'une rapport rénovation respiration résultat révulsion rien rotifères sang sécrétion semblable sensibilité inconsciente spéciale spécifique structure substance suc nourricier sympathies syphilis système nerveux température Tiedemann tion tissus typhus variole végétaux vement vitellus
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Seite 194 - La Nature est le système des lois établies par le Créateur pour l'existence des choses et pour la succession des êtres. La Nature n'est point une chose, car cette chose serait tout; la Nature n'est point un être, car cet être serait Dieu. Mais on peut la considérer comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout, qui anime tout, et qui, subordonnée à celle du premier Être, n'a commencé d'agir que par son ordre, et n'agit encore que par son...
Seite 160 - Quand l'eau courbe un bâton, ma raison le redresse : La raison décide en maîtresse. Mes yeux, moyennant ce secours, Ne me trompent jamais en me mentant toujours.
Seite 146 - Dans les corps vivans , dit-il, aucune molécule ne reste en place, toutes entrent et sortent successivement : la vie est un tourbillon continuel, dont la direction, toute compliquée qu'elle est, demeure constante, ainsi que l'espèce des molécules qui y sont entraînées, mais non les molécules individuelles elles-mêmes ; au contraire, la matière actuelle du corps vivant n'y sera bientôt plus, et cependant elle est dépositaire de la force qui contraindra la matière future à marcher dans...
Seite 173 - ... et après la dissolution du corps, après sa destruction, sa réduction en cendres, ces molécules organiques sur lesquelles la mort ne peut rien, survivent, circulent dans l'univers, passent dans d'autres êtres, et y portent la nourriture et la (I) Lucrèce, II, 87*.
Seite 185 - Nature; êtres perpétuels, aussi anciens, aussi permanens qu'elle; que pour mieux juger nous ne considérons plus comme une collection ou une suite d'individus semblables; mais comme un tout indépendant du nombre, indépendant du temps; un tout toujours vivant, toujours le même...
Seite 172 - JLiA surface de la terre , parée de sa verdure , est le fonds inépuisable et commun duquel l'homme et les Animaux tirent leur subsistance. Tout ce qui a vie dans la Nature vit sur ce qui...
Seite ii - BOUCHUT. Traité pratique des Maladies des nouveau-nés, des enfants à la mamelle et de la seconde enfance, par le docteur E.
Seite 146 - ... molécules qui y sont entraînées, mais non les molécules individuelles elles-mêmes ; au contraire, la matière actuelle du corps vivant n'y sera bientôt plus, et cependant elle est dépositaire de la force qui contraindra la matière future à marcher dans le même sens qu'elle. Ainsi la forme de ces corps leur est plus essentielle que leur matière, puisque celle-ci change sans cesse, tandis que l'autre se conserve (2).
Seite 207 - A l'égard de celles-ci, dès que l'ouvrage est terminé, il est sur-lechamp séparé de la main de l'ouvrier et ne lui appartient plus : il est bien fait par lui, mais non de lui. Au contraire ce qui est engendré provient de la substance même de l'être générateur ; tellement qu'il tient de lui quelque chose qui est très...
Seite 185 - UM individu, de quelque espèce qu'il soit , n'est rien dans l'univers ; cent individus, mille, ne sont encore rien : les espèces sont les seuls êtres de la nature; êtres perpétuels , aussi anciens , aussi permanens qu'elle, que, pour mieux juger, nous ne considérons...