Oeuvres complettes de M. Marmontel, historiographe de France ...Née de la Rochelle, 1787 |
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Seite 75 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Seite 81 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée Lorsqu'il verra sa fille, à...
Seite 52 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Seite 365 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Seite 75 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Seite 5 - Tout mortel doit ici paraître ; On ne peut naître Que pour mourir. De cent maux le trépas délivre ; Qui cherche à vivre Cherche à souffrir.
Seite 51 - C'est devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé, dans ce moment, de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du TrèsHaut dans des temples couverts de chaume; j'ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j'ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion.
Seite 363 - Des vainqueurs fumants de carnage, Un peuple au fer abandonné , Des mères pâles et sanglantes, Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné.
Seite 448 - Des mères pâles et sanglantes Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné. Juges insensés que nous sommes, Nous admirons de tels exploits ! Est-ce donc le malheur des hommes, Qui fait la vertu des grands rois...
Seite 166 - Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! J'ai lu Malherbe et Théophile.