 ... une expression désespérée ; rapidement il marchait, il courait vers son lit, s'y étendait, morne, sinistre, comme il se serait couché tout vivant dans un cercueil, puis il s'écriait : « Je tiens les guides ; voici le roulier, j'entends les...  Chronique Médicale - Seite 5601896Vollansicht - Über dieses Buch
 | François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1881 - 972 Seiten
...visible, il comptait encore en être quitte pour une alerte ; puis son visage pâlissait et prenait une expression désespérée ; rapidement il marchait, il courait vers son lit, s'y étendait, morue, sinistre, comme il se serait couché tout vivant dans un cercueil ; puis il s'écriait : «... | |
 | Bertha Schmidt - 1903 - 216 Seiten
...quitte pour une alerte. Puis son. visage pâlissait et prenait une expression désespérée; rapidement il courait vers son lit, s'y étendait morne, sinistre,...il se serait couché tout vivant dans un cercueil. Alors il poussait une plainte dont l'accent déchirant vibre encore dans mon oreille, et tout son être... | |
 | Joseph Grasset - 1903 - 778 Seiten
...minutes... puis son visage pâlissail encore plus et prenail une expression désespérée; rapidemenl il marchait, il courait vers son lit, s'y étendait, morne, sinistre, comme il se serait couché lout vivant dans un cercueil ; puis il s'écriait : je tiens les guides ; voici le roulier; j'entends... | |
 | Joseph Grasset - 1907 - 312 Seiten
...prolongeait quelquefois pendant plusieurs minutes-... puis swa visage pâlissait encore plus et prenait une expression désespérée; rapidement il marchait,...puis il s'écriait : je tiens les guides ; voici le roulicr; j'entends les grelots! Ah! je vois la lanterne de l'auberge 2 ! Alors il poussait une plainte... | |
 | Joseph Grasset - 1907 - 324 Seiten
...s-'y étendait, morne, sinistre, comme il se serait couclié tout vivauk dans un cercueil; puis iï s'écriait : je tiens les guides; voici le roulier...j'entends les grelots ! Ah ! je vois la lanterne de l'auberge2! Alors il poussait une plainte dont l'accent déchirant vibre encore dans mon oreille et... | |
 | Remy de Gourmont - 1909 - 310 Seiten
...prolongeait quelquefois pendant plusieurs minutes, puis son visage pâlissait encore plus et prenait une expression désespérée. Rapidement, il marchait,...vers son lit, s'y étendait morne, sinistre, comme s'il était couché vivant dans le cercueil; puis il s'écriait: Je tiens les guides, voici le roulier,... | |
 | Louis Bertrand - 1912 - 290 Seiten
...était visible, il comptait en être quitte pour une alerte, puis son visage pâlissait et prenait une expression désespérée; rapidement, il marchait,...les grelots ! Ah ! je vois la lanterne de l'auberge (i). » Alors il poussait une plainte dont l'accent déchirant vibre encore dans mon oreille, et la... | |
 | Joseph Grasset - 1914 - 318 Seiten
...prolongeait quelquefois pendant plusieurs minutes... puis son visage pâlissait encore plus et prenait une expression désespérée ; rapidement il marchait,...j'entends les grelots ! Ah ! je vois la lanterne de l'auberge2! Alors il poussait une plainte dont l'accent déchirant vibre encore dans mon oreille et... | |
 | Remy de Gourmont - 1925 - 310 Seiten
...marchait, il courait vers sou lit, s'y étendait morne, sinistre, comme s'il était couché vivant dans le cercueil; puis il s'écriait : Je tiens les guides, voici le roulier, j'entends les grelots! Ah 1 je vois la lanterne de l'auberge ! Alors, il poussait une plainte dont l'accent déchirant vibre... | |
 | 1881 - 984 Seiten
...visible, il comptait encore en être quitte pour une alerte ; puis son visage pâlissait ei prenait une expression désespérée ; rapidement il marchait,...morne, sinistre, comme il se serait couché tout vivant clans un, cercueil'.; puis il s'écriait : « Je tiens les; guides; voici le reulier, jlentends les... | |
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